1 l, dit à plusieurs reprises d’elle-même et de son frère  : « Nous aurons été les derniers romantiques de l’amour… Au fond, c’e

2 central, Ulrich von X, qui me ressemble comme un frère , reporte sa passion, déçue par la réalité, sur sa propre sœur, c’est-

3 interdit qui unira ses héros : Ulrich et Agathe, frère et sœur. Admirable coïncidence, qu’il faut bien attribuer à la logiqu

4 être 12 ans, en compagnie d’un père très jeune ou frère aîné. Sa façon d’entrer, de s’asseoir, de tendre négligemment au cont

5 umour impitoyable des réflexions échangées par le frère et la sœur, la qualité de leurs exigences morales et de leurs nostalg

6 nt poussés, inconciliables. Première version : le frère et la sœur cèdent à leur amour, réfugiés sans passeports dans une île

7 ’y passe rien qu’une longue conversation entre le frère et la sœur qui s’aiment, dans leur jardin où choit sans fin du haut d

8 destinée d’échouer devant l’infini ? Ou bien, mes frères , ou bien ? Dans Ecce Homo, Nietzsche commente : « Ce livre se termin

9 quelqu’un dit : J’aime Dieu, et qu’il haïsse son frère , c’est un menteur ; car celui qui n’aime pas son frère qu’il voit, co

10 , c’est un menteur ; car celui qui n’aime pas son frère qu’il voit, comment peut-il aimer Dieu qu’il ne voit pas ? Amour d

11 Matt., X, 37). Quelqu’un lui dit : Ta mère et tes frères sont dehors et demandent à te parler : Jésus répondit : Qui est ma mè

12 Jésus répondit : Qui est ma mère et qui sont mes frères  ? Puis étendant la main sur ses disciples, il dit : Voici ma mère et

13 sur ses disciples, il dit : Voici ma mère et mes frères (Matt., XII, 46-50). Si quelqu’un vient à moi et s’il ne hait pas son

14 pas son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères , ses sœurs, et même sa propre vie, il ne peut être mon disciple (Luc,