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, « l’âme inassouvie » de Baudelaire conçoit « le
goût
de l’éternel »10. Et dans In vino veritas, l’un des héros ironiques d
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mais n’hésite pas à se croire Don Juan s’il a le
goût
de la facilité et du changement ; ou Tristan s’il se sent plus doué p
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et confirmant sa morale optimiste. Tels étant les
goûts
du public, telles seraient donc, selon l’enquête, les conditions requ
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flots, la séduction fascinante des parfums, et le
goût
impeccable du service saisirent les convives qui entraient, et tandis
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se. Il a grand besoin qu’elle existe pour trouver
goût
à la violer. Tristan, lui, se voit libéré du jeu des règles, des péch
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intégrer l’amour dans l’existence normale, ou par
goût
de l’excès en soi, l’un prétendra transcender la durée, l’autre en fa
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vait peu d’instinct religieux, et moins encore de
goût
pour la métaphysique. Il préférait ce qu’il jugeait important à ce qu
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du mari et la « fragile » santé de la femme, les
goûts
de l’un et les silences de l’autre — quand un mot pouvait tout dénoue
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rialisme et sadisme, ou à l’inverse, ascétisme et
goût
de l’autosacrifice ; vers l’autre : crime ; vers soi : suicide. Conc
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it, a lieu d’être masochiste et de s’en réjouir.)
Goût
de la mort à deux. Paranoïa. Conception de l’amour : « La beauté fai
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concepts). Déviations typiques : Schizophrénie.
Goût
du viol. Impuissance sexuelle par méfiance de l’âme. (L’Intellectuel,
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ie, Gide avait justement essayé de normaliser ses
goûts
sexuels. Et l’on sait que l’arrivée à Biskra (un peu trop tôt) et la