1 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — VIII. Pour une mythanalyse de la culture
1 nisme n’en tolère. Or ces réalités, quoi qu’on en juge , sont au moins aussi quotidiennes et obsédantes que les réalités écon
2 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
2 ce que celle-ci est plus religieuse que sexuelle, juge puéril de se préoccuper encore d’amour, mais voue tous ses efforts au
3 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
3 rêtre, et non comme avocat, et encore moins comme juge , mais simplement parce qu’il connaît le signalement des protagonistes
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
4 e admiration, mais se refuse à Kierkegaard, qu’il juge « trop long ». Marquant ainsi bien franchement ses limites, et les mo
5 ion, non le salut ; ce que l’on vit et comment on juge , non la connaissance pure, ni le mystère. Réduisait-il la religion à
6 st pas le premier venu. C’est usurper la place du Juge , ou mêler vanités et salut. Si Gide a refusé totalement quelque chose
5 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
7 soires. Comme le moi. — La vue juste distingue et juge , mais ne peut pas nier le trouble. Dans ce moi peu ou point différenc