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précision que le proverbe antique sur l’oisiveté
mère
des vices — les chances pratiques de l’érotisme. Déplorer le phénomèn
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pour posséder l’enfant, dont il épouse d’abord la
mère
. Cette malheureuse mourra bientôt, renversée par une auto. H. H. emmè
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is un point d’ironie frappe l’allusion. Ainsi, la
mère
du héros meurt très tôt (comme dans Tristan), mais voici le ton du ré
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is voici le ton du récit : « Ma très photogénique
mère
mourut dans un accident capricieux (pique-nique, éclair) quand j’avai
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eille et grave mélodie » qui marque la mort de la
mère
dans Tristan !) Le nom de l’hôtel où se passe la nuit de la séduction
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nt de vie. Et ce lointain, c’est la Russie, cette
mère
glorieuse, incomparable, dont la renommée s’étend au-delà des mers, c
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c’est uniquement par obéissance aux désirs de sa
mère
. Il ne peut prendre son parti de la commune condition humaine. Une in
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» de beauté féminine (souvenir inconscient de la
mère
) — trop vite séduit par la plus fugitive ressemblance, toujours déçu
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u viol intellectuel. Comme Don Juan l’image de la
Mère
, Nietzsche poursuit l’image obscure, et à lui-même infiniment secrète
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s d’une fois — elle se confond avec l’image de la
mère
: « Le soir je retrouvais son profil disparu dans l’ombre de ta tête
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subtilement et comme mystiquement, à celle de ma
mère
, sans que j’en sois très étonné. Les contours des visages ne sont pas
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dit-il, « d’admirables figures chrétiennes » — sa
mère
, sa gouvernante et deux tantes maternelles — « à qui le prêt du moind
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emblait-il » — puis confondant avec l’image de sa
mère
celle de sa proche cousine Madeleine, qu’il épousera malgré tout — co
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ucoup plus tard la clef74. 1° Aimer l’image de sa
mère
reste permis, tant que le « désir charnel » est inhibé. 2° En revanch
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anisme victorien ; au surplus, sanctionnée par la
Mère
. Donc Gide « prend son parti de dissocier le plaisir de l’amour ». Et
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s de caractère moins « viril », dirait-on, que la
mère
, du moins telle que Gide l’a décrite — le petit André allait avoir 11
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décrite — le petit André allait avoir 11 ans. Sa
mère
le prit sur ses genoux pour consoler l’enfant qui sanglotait : « et j
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ans la chambre voisine, je l’ai confondue avec ma
mère
. » Notons que les deux femmes ne se ressemblaient en rien, ni physiqu
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s ? (Matt., V, 46). Celui qui aime son père ou sa
mère
, son fils ou sa fille plus que moi, n’est pas digne de moi (Matt., X,
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gne de moi (Matt., X, 37). Quelqu’un lui dit : Ta
mère
et tes frères sont dehors et demandent à te parler : Jésus répondit :
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mandent à te parler : Jésus répondit : Qui est ma
mère
et qui sont mes frères ? Puis étendant la main sur ses disciples, il
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dant la main sur ses disciples, il dit : Voici ma
mère
et mes frères (Matt., XII, 46-50). Si quelqu’un vient à moi et s’il n
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u’un vient à moi et s’il ne hait pas son père, sa
mère
, sa femme, ses enfants, ses frères, ses sœurs, et même sa propre vie,
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: C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa
mère
, et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair ?
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a des eunuques qui le sont dès le ventre de leur
mère
; il y en a qui le sont devenus par les hommes ; et il y en a qui se
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trop tôt) et la malencontreuse intervention de sa
mère
mirent un terme à cette tentative. En jugeant André au nom de sa mora
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n jugeant André au nom de sa morale puritaine, la
mère
le rejetait aux « vices contre nature », et en condamnant « l’impudiq