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de la passion d’amour, des mythes de l’âme et du
mystère
de la personne1 ; il en prolonge les lignes, vers un point de perspec
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l’amour distingue et relie à la fois. Il relie au
mystère
divin, mais aussi au mystère de ce « prochain » visible dont la perso
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la fois. Il relie au mystère divin, mais aussi au
mystère
de ce « prochain » visible dont la personne reste invisible… 3. Cette
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dans l’amour partagé n’évoque-t-elle pas aussi un
mystère
plus prochain, une autre rédemption de l’éros par l’Agapè ? L’interdi
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ant que tel reste aux yeux d’un amour exigeant le
mystère
le mieux défendu, — Éros et Agapè ne pourraient-ils nouer une allianc
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’« énoncé direct », à l’examen de la nature ou du
mystère
d’une vocation historiquement vécue. Le premier caractère d’une vocat
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ne peut plus tricher). Voici peut-être la clé du
mystère
: c’est qu’en respectant toutes les règles, nous ne pourrons jamais q
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airer son attitude envers le christianisme et son
mystère
. Peu d’instinct religieux chez cet homme, alors que le christianisme,
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comment on juge, non la connaissance pure, ni le
mystère
. Réduisait-il la religion à la morale ? Je pense plutôt que la morale
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pour lui que la sainteté, et non pas l’accueil du
mystère
, ni l’adhésion à un credo. J’en donne la preuve : avoir la foi sans ê
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religion, ni chrétien ni hindou, sans mystique ni
mystère
? Ne serait-il pas un homme tout à fait plat, réduit à quelques parti
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mo de saint Anselme. Kassner gravite autour de ce
mystère
, l’approche par le moyen de paraboles, de questions, de comparaisons.
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’imagination, irrésistiblement, s’oriente vers le
mystère
crucial. S’agirait-il d’une théologie ? Kassner veut voir. D’une gnos
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pour respecter — mais aussi contre le respect du
mystère
exigeant de l’Autre — qu’il n’est pas assez « spirituel » pour aimer.
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er à la réalité tangible, insuffisante, pleine de
mystères
, des apparences actuelles, qu’elle s’évertue en conséquence à scruter
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transformer lui-même, en tant qu’il participe au
mystère
du créé. Il a choisi cette voie, qu’il aille jusqu’au bout ! Pour lui
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sensible, elle découvre et mesure l’énergie et le
mystère
de l’attraction universelle. Et il est beau que l’aventure de l’intel
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fectif demeure pour elle le plus impénétrable des
mystères
. Il est capital qu’elle l’admette. Ce qui était écarté depuis des siè