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ais le refoulement, générateur de complexes et de
névroses
. D’où la tolérance que j’ai dite, et qui effraye tant d’observateurs.
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ou révolutionnaires montrent les symptômes d’une
névrose
attribuable au refoulement du spirituel. Tandis que d’autres, au cont
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normal et moyen ? La libido partout à l’œuvre, la
névrose
prise pour thème normal, la négation de l’innocence, même enfantine ;
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ur secret, le « noyau » de cette âme, et voici la
névrose
déclarée, le drame et l’éclatement du couple. Si au contraire l’âme r
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oncent les forces qui tendent à le dissocier, les
névroses
qui l’assiègent de toutes parts, et retrouvent par le détour de leurs
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es écoles orientales correspondent simplement aux
névroses
de la psychanalyse freudienne : elles seraient autant de « rationalis
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et leurs relations s’empoisonnent. La plupart des
névroses
dites « sexuelles » ont leur genèse dans cette discorde permanente, —
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rreur sont de notre côté, nous les payons par les
névroses
ou l’abêtissement spirituel. Eux sont tellement en garde contre l’ill
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péché originel). Ils en ont fait autant pour les
névroses
qui s’attaquent à nos « agrégats » individuels : le cosmos actuel tou
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exuelle de saint Paul semble conditionnée par une
névrose
, sans doute liée à cette « écharde dans la chair » dont il se plaint
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ances, par la passion d’un chef réaliste, par une
névrose
peut-être assez commune et par une foi presque unique, n’est-ce pas c
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us — me disent les psychiatres — à un symptôme de
névrose
caractérisée. Cette peur est plus ouvertement avouée, voire commentée
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ieilles craintes magiques, — sauf dans le cas des
névroses
mentionnées. Ceci dit, le vajrolî mudrâ ou le tour de force des yogis