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der avec la forme ou le mouvement de telle œuvre,
poème
ou histoire, qui pour la première fois, bien avant nous, les avait dé
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fin de l’Empire romain, on n’avait plus écrit de
poèmes
d’amour ni de traités de mystique originaux. La vie sexuelle semblait
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pure du clergyman, mais avoué par certains de ses
poèmes
et trahi par les plaisanteries souvent féroces de ses lettres à des p
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té son Iseut, le roman réaliste eût fait place au
poème
et la satire sociale au lyrisme intérieur. L’hypothèse n’est pas arbi
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sée sur sa route » : « Elle l’avait ravi comme un
poème
d’amour écrit en secret, dont les allusions sont chargées d’un bonheu
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ésir à l’extase partagée — mais aussi le roman au
poème
. Quelques instants avant sa mort, Musil travaillait à ce chapitre, qu