1
es besoins de la narration et de la rhétorique du
récit
. Dans une société comme la nôtre, l’amour-passion peut-il encore trou
2
ent offrir au lecteur : critique d’une société ou
récit
d’une passion ? On connaît ces paysages fantastiques de la Renaissanc
3
ès tôt (comme dans Tristan), mais voici le ton du
récit
: « Ma très photogénique mère mourut dans un accident capricieux (piq
4
par point, et que l’on peut croire délibérée, du
récit
de l’erreur « fatale » de Brangien.) Comme dans Tristan, il est vrai,
5
e mariage au nom de l’amour-passion anime tout le
récit
. Comme dans Tristan, l’on sent que l’auteur n’est pas intéressé par l
6
se est, de toutes, celle qui se prête le mieux au
récit
. La sexualité pure et l’amour du prochain ne sont vrais qu’en acte, e
7
-être jamais mieux que dans l’élan lyrique de son
récit
. Lié plus que tout autre à la littérature par une complicité d’origi