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que toutes les sociétés constituées. En dépit des
traités
de quelques Pères de l’Église (prohibant telle position sexuelle parc
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ble — du Kamasutra, des tantras, de tant d’autres
traités
d’érotisme dans les Vedas et les upanishads, reliant le sexuel au div
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nous décrivent, sans varier depuis mille ans, les
traités
du Hatha Yoga. Et pas de traces non plus, dans le christianisme, de c
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in, on n’avait plus écrit de poèmes d’amour ni de
traités
de mystique originaux. La vie sexuelle semblait réduite à l’obscure a
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e à une loquacité intarissable — lettres d’amour,
traités
mystiques — et procédant généralement par antithèses et paradoxes. Ca
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les : ce n’est pas ici mon sujet, mais celui d’un
traité
du mariage.) Si au contraire le sentiment, dans son essor vers le mar
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ique des Cahiers d’André Walter et des premiers «
traités
» de Gide, mais dont la persistance à travers toute une vie est attes
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copieux commentaires sur le culte du phallus, aux
traités
des Pères de l’Église sur l’ascèse et sur la chasteté, et nous compre