1 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Note liminaire
1 ’une longue Introduction — s’agissant d’assurer l’ unité de l’ouvrage et d’en faire accepter le vrai sujet : ce mouvement d’al
2 usoire des personnes, et la préserve au sein de l’ Unité , afin de l’aimer et d’être aimé par elle. Voilà toute la philosophie
2 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
3 La civilisation d’un peuple se manifeste dans l’ unité disciplinée des instincts de ce peuple : la philosophie maîtrise l’in
4 ; seul un horizon constellé de mythes parachève l’ unité d’une époque de culture. Le seul mythe peut préserver de l’incohérenc
3 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
5 tenu dans la forme, où il voit un équivalent de l’ unité du Tout et du Rien, maintenus ensemble et assumés par la seule force
6 sonnel ? Ou plutôt, saurez-vous nous faire voir l’ unité finale des deux voies ? Nul autre mieux que vous, vous seul sans dout
7 el, de l’Individu kierkegaardien) et All-Einheit ( unité tout-embrassante). 93. « La chimère » dans Les Éléments de la grande
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
8 enne Il n’existe plus de communauté humaine, d’ unité de civilisation qui s’inspire du mazdéisme de Zarathustra ; et nulle
9 mazdéisme, nous fait voir combien plus vivement l’ unité première et finale de tout amour ! Peut-être aussi nous fera-telle en