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xuel biologique, va pouvoir développer toutes ses
virtualités
. Ces vifs plaisirs profonds, anxieux ou tendres, moments de grâce de
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ascination du mythe révèle ici sa vraie nature de
virtualité
existentielle. La vie réelle de Kierkegaard s’est qualifiée par son r
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il est pour l’amour naturel, possessif — mais une
virtualité
divine que l’amant « imagine » (dont il devine l’Image) et qu’il tend
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sant à une lumière qui en fasse éclore toutes les
virtualités
surhumaines, jusqu’à l’investir de la fonction théophanique de l’Ange