1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 aut chercher la principale cause. En Asie, loin d’ éprouver de fortes tribulations, celles-ci ont à peu près les mêmes caractères
2 dans une telle température la faculté organique n’ éprouve point les secousses vives dont les changemens violens des corps sont
3 par cela même que vivant sous un ciel où l’esprit éprouve continuellement des secousses, celles-ci rendent l’homme agreste, et
4 Eschyle ? Mais on s’expliquerait mal qu’ils aient éprouvé le besoin de désigner la Grèce par un terme plus général, s’ils n’ent
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 1. Perspectives élargies
5 Monarchie de Dante. Par ailleurs, la sympathie qu’ éprouvait ce luthérien pour la papauté se manifeste à maintes reprises, quoique
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 3. Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
6 fils et des petits-fils de Théodose que l’empire éprouva les plus funestes calamités ; et, lorsque ces princes méprisables eur
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 1. « Tout s’est senti périr »
7 je découvre la profonde répugnance que mon esprit éprouve envers tout ce qui passe pour principes directeurs de l’esprit europé
8 nous encore quel est l’enjeu de la perte que nous éprouvons au moment même où nous la subissons. Mais dans un proche avenir les h
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
9 : que furent les Grecs ? Au surplus, lorsque nous éprouvons les nombreuses insuffisances de la culture européenne moderne, nous n