1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 st trop légère pour la faute des vierges. Suis-je éveillée , pleurant un acte honteux ? ou bien, sans reproche, suis-je le jouet
2 t distinct, même aux époques où le nom d’Europe n’ éveillait plus, dans les esprits, que la seule idée géographique d’une des troi
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 3. Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
3 cela il me semblait le voir encore, lorsque je m’ éveillai et ouvris les yeux, littéralement baigné de larmes. J’étais heureux,
4 se transforma tout à coup pour moi, dès que je m’ éveillai , en une réalité, en soleil couchant du dernier jour de l’humanité eur
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 4. De l’historisme au pessimisme
5 Heine, Schopenhauer. Cependant, à côté de ce qui éveille et forme dans ces esprits le besoin d’une unité nouvelle, ou déjà les
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 1. « Tout s’est senti périr »
6 xistence, dût-il ne pas être un droit pour l’être éveillé  ; et elle a toujours sacrifié la vérité et la justice à la puissance,