1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 3. Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
1 peut rompre les liens de la société du Christ. L’ apôtre Paul s’indigna un jour, en entendant des chrétiens prononcer ces paro
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 2. Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
2 il, parole sacrée de l’avenir… » Il fut d’abord l’ apôtre de l’italianité, de l’unité italienne dans le républicanisme ; puis,
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 4. De l’historisme au pessimisme
3 ts que les naïfs promoteurs et protagonistes, les apôtres de l’« idée moderne », voudraient le moins faire entrer en ligne de c
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 1. « Tout s’est senti périr »
4 mien l’esprit de ce prochain. La bénédiction de l’ apôtre est qu’il reçoit en soi les âmes de tous ceux qu’il évangélise : c’es
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
5 péen typique sera tantôt un révolutionnaire ou un apôtre , un amant passionné ou un mystique, un polémiste ou un guerrier, un m
6 toriens du xixe siècle étaient en même temps des apôtres du nationalisme, et leurs histoires sont souvent des manuels de propa