1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 ient et se montre jusqu’en Occident, ainsi sera l’ avènement du Fils de l’Homme. Ce thème de l’ex oriente lux est si puissant, qu
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 2. Premiers plans d’union
2 « C’est probablement pendant l’année même de son avènement au trône — écrit Lange69 — que Georges a fait la connaissance d’Antoi
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 3. Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
3 re en une grandiose réalité. Charles-Quint, à son avènement , se trouve être à la fois le maître des Allemagnes, des Espagnes, des
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 1. De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
4 is où la grande Dialectique idéaliste prévoyait l’ avènement de la paix. Inaugurée par le traumatisme de la Révolution, imposée à
5 açant toute sa foi terrestre et politique dans un avènement surnaturel : l’ordre catholique restauré. Chez son porte-parole le pl
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 2. Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
6 la française, puis l’italienne elle-même dès son avènement . À la différence des précurseurs et utopistes cités jusqu’ici, ce n’e
7 vaient, l’on put croire pendant quelques mois à l’ avènement de la Jeune Europe, tout au moins de ses idéaux. En 1850, réfugié à L
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
8 our oser annoncer le dépassement des nations et l’ avènement d’une fédération démocratique, lorsqu’on écrivait en Allemagne : c’es