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Europé d’une main, serrait la grande corne de la
bête
; de l’autre, elle maintenait contre elle le pli pourpré de sa robe,
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une très grande quantité de bétail et fort peu de
bêtes
féroces, et nous aurons achevé de donner de la nature de ce continent
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courage et la force, mais il en va de même de ses
bêtes
sauvages. Les lions nés en Europe ont plus de courage que les lions p
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s nos peuples. Le « qui veut faire l’ange fait la
bête
» de Pascal se traduit ici par « qui veut le Monde abstrait fait la n
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l’Europe, c’est que, s’il existe un gouvernement
bête
fauve, il doit être traité en bête fauve ; c’est qu’à l’heure qu’il e
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n gouvernement bête fauve, il doit être traité en
bête
fauve ; c’est qu’à l’heure qu’il est, tout près de nous, là, sous nos
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nivellement et à l’abaissement de l’homme — de la
bête
de troupeau humain, habile, laborieuse, utile et utilisable de façon
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une pensée quelconque derrière ce nationalisme de
bêtes
à cornes ? À présent que tout s’oriente vers de plus larges intérêts
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l’intelligentsia contemporaine. C’est « la Grosse
Bête
», dit Simone Weil. « Les Romains sont des gangsters, et bien pire :