1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 la Crète, l’alphabet nous vient des Phéniciens ; ceux-ci colonisèrent la Béotie et y firent souche et de leurs nobles dynastie
2 les Grecs, il en va de même pour les Hindous, et ceux-ci ne figurent pas pour autant l’Occident de la Chine41 ou de la Malaisi
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 4. « Têtes de Turcs »
3 l’Europe : il n’y penserait plus sans les Turcs. Ceux-ci ont certes assiégé Vienne en 1552, au grand effroi de la chrétienté.
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 1. Perspectives élargies
4 a réglé la préséance lors de ces conciles et que ceux-ci , au nom du Christ, ont déclaré la guerre aux ennemis du nom chrétien.
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 2. L’Europe des lumières
5 à celui des empires de l’Asie. Les peuples, dans ceux-ci , sont gouvernés par le bâton ; les peuples tartares par les longs fou
6 s États, les uns monarchiques, les autres mixtes, ceux-ci aristocratiques, ceux-là populaires : mais tous correspondans les uns
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 2. Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
7 uve les ruisseaux dérivent, alors qu’au contraire ceux-ci descendent des montagnes pour grossir celui-là. Par conséquent il ser
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 3. Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
8 e nous nous appellerions slavophiles, et daignent ceux-ci ne pas s’en offusquer ! Il est inutile de protester contre un fait se
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 4. De l’historisme au pessimisme
9 nous ne nous sentons pas moins les descendants de ceux-ci , parce que leur âme a passé en nous et que leur labeur, leur vocation
10 lés à disparaître. Il faut de grands individus et ceux-ci ont besoin de réussir. Mais l’Europe a fréquemment eu de grands homme
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 1. « Tout s’est senti périr »
11 hommes qui les avaient créés. Fort au-dessous de ceux-ci étaient ceux qui disposaient d’elle. Ils étaient nourris du passé ; i