1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 phique, mais humaine, et des « Européens » qui la défendent , ne remonte qu’au viiie siècle de notre ère, après la bataille de Po
2 . La preuve est là, qu’au viiie siècle, ceux qui défendent ce continent se voient naturellement décrits non comme les défenseurs
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 2. Premiers plans d’union
3 i fournissant des arguments, tenant la plume pour défendre les droits de la couronne… Avant 1306, pour des raisons qu’on ignore,
4 s secourir notre allié attaqué ou contraint de se défendre en lui procurant chaque année pour sa défense les dîmes de notre roya
5 sainte Église romaine et de la foi catholique, de défendre et protéger la religion chrétienne et tous les fidèles opprimés contr
6 et quand il devint pape, sa première tâche fut de défendre la chrétienté par la force de la persuasion et par la force des armes
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 3. Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
7 uples dont ils portent aux nues la persévérance à défendre la liberté. Puisqu’il est vrai que plus il y a d’empires, plus on voi
8 telles que l’homme n’a plus le même besoin de se défendre qu’autrefois. On tuait alors les vaincus ou on les livrait à un escla
9 peu d’États ; de sorte que les villes faibles se défendent en s’attachant au parti du vainqueur, et que les États plus puissants
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 5. Les grands desseins du xviie siècle
10 souverains seront obligés par devoir d’alliance à défendre ces royaumes contre toute agression. Arbitrage aussi pour tout différ
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 1. Perspectives élargies
11 s’ensuit qu’elle ne doit pas être contestée, mais défendue par nos princes… Si on agit donc conformément au droit, l’empereur do
12 cs avaient adopté pareil régime politique pour se défendre contre la puissance grandissante de Rome et c’est ce qu’on observe au
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 4. Pendant ce temps, l’Amérique du Nord…
13 un recueil de 85 articles de journaux écrits pour défendre la Constitution votée par la Convention Fédérale le 17 septembre 1787
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 2. Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
14 e force navale excédant celle qui lui suffit pour défendre son commerce contre les pirates. V. Qu’il n’est pas de l’intérêt de l
15 orise de la pondération et du sens réaliste qu’il défendit avec tant de violence et de généreux paradoxes. Contrairement à Kant
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 3. Synthèses historico-philosophiques (I)
16 contemporaines de la Révolution française (qu’il défend dès 1793) et de Napoléon (qu’il attaquera violemment) s’ouvre par un
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 7. Synthèses historico-philosophiques (II)
17 uête ; c’est elle la grande Autorité qui tranche, défend et fixe des limites, c’est elle qui sépare l’Orient de l’Occident, le
18 dentalen Idealismus 188 publié en 1800, Schelling défend l’idée d’une fédération et d’une Cour de justice internationales, dan
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 1. De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
19 t propres. D’autant plus courageusement un peuple défend ses particularités, d’autant mieux la vie générale peut se déployer d
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 2. Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
20 s confédérés : l’absolutisme de leur pouvoir leur défendait d’en prendre le titre. C’étaient, comme en 92, des coalisés ; l’histo
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 4. De l’historisme au pessimisme
21 nements et la faillite des puissances chargées de défendre la paix : socialisme et christianisme.265 La renaissance des projet
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 1. « Tout s’est senti périr »
22 de l’histoire du monde » et par les théories qui défendent la nécessité du progrès — qu’il s’agisse du marxisme, pour lequel le
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
23 corps et son esprit. Quant à l’esprit même, il se défendra de ses excès, de ses rêveries, de sa production vague et purement ima
24 trouvent à l’intérieur de l’Empire : les seconds défendront l’Empire contre les premiers, prendront le haut commandement de l’arm
25 é dans un certain pays (encore que cela puisse se défendre ) qu’un lieu spirituel situé dans une certaine nation ou dans certains
26 ion à l’unité de la culture européenne : Peut-on défendre la culture française en tant que telle ? À cela, je réponds simplemen