1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 llé le taureau, ils prennent chacun une direction différente . Phœnix se dirige vers l’ouest, dépasse la Libye, atteint la future C
2 . Le jeu mutuel de plusieurs caractères nationaux différents et même opposés ; l’esprit de liberté tant civil que politique : voil
3 is maintenant exposer dans un aperçu sommaire les différens phénomènes qui, par leur dissemblance de caractère, font distinguer l
4 productions de la terre. Tous les caractères des différens phénomènes sont donc communément plus beaux et plus parfaits en Asie
5 Les peuples qui habitent les pays froids et les différentes contrées de l’Europe sont généralement pleins de courage, mais ils so
6 urquoi la Terre étant une on lui donne trois noms différents , qui sont des noms de femmes. En effet, selon Strabon : Du temps d’
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 2. Premiers plans d’union
7 ations, royaumes et villes possèdent des qualités différentes , qui doivent être dirigées par des lois différentes. La loi est une r
8 fférentes, qui doivent être dirigées par des lois différentes . La loi est une règle de direction pour la vie. Autrement doivent êtr
9 e ; je ne crois pas toutefois que, depuis que les différentes régions ont été peuplées, il n’y eut jamais personne à qui tous aient
10 e sous la direction d’un concile, dans lequel les différentes nations garderaient une indépendance absolue quoad temporalia. Cepend
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 5. Les grands desseins du xviie siècle
11 d, tant entre un souverain et son peuple qu’entre différents États. Ils ont pour mission de régler toutes les questions d’intérêt
12 s. § 12. Il sera utile d’adopter des appellations différentes pour ces tribunaux : le tribunal des lettrés s’appellerait le Conseil
13 l’approfondir que plus je le considère, et ce par différents côtés, plus je le trouve avantageux aux souverains. C’est l’établisse
14 ner équitablement, & sur tout sans Guerre les différens futurs… Ce sont ces réflexions qui sont le sujet du premier Discours.
15 e ne seroit jamais interrompu, & que tous les différens futurs se termineraient sans Guerre par la voye des Arbitres, sûreté
16 us les Articles du Commerce en général, & des différens Commerces entre les Nations particulières, de sorte cependant que les
17 , & fondées sur l’équité. L’Union établira en différentes Villes des Chambres pour le maintien du Commerce, composées de Députe
18 aix, & le Sénat prendra soin de concilier les différens par ses Commissaires Médiateurs, ou s’ils ne peuvent être conciliez,
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 6. En marge des grands plans, l’utopie prolifère
19 , n’est pas également fertile, produit des fruits différents et des trésors de diverses natures, que les Européens sont appelés à
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 1. Perspectives élargies
20 es académies qu’il s’efforçait de fonder dans les différents pays n’étaient dans sa pensée que les fragments épars et provisoires
21 édifices saints et profanes, soit pour les génies différents des peuples qui l’habitent. Nous devons encore ajouter aux avantages
22 ami ; qu’ils inventaient tous les jours des modes différentes  ; et que, s’ennuyant dans leur pays, ils partaient tantôt pour l’Asie
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 3. Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
23 tude de l’Histoire à cette période surtout où les différentes Puissances de l’Europe s’étant plus étroitement unies, les opérations
24 ire de l’Europe entière. Depuis cette époque, les différens royaumes n’ont formé qu’un seul et vaste système, si étroitement, uni
25 résent chez tous les peuples civilisés, entre les différentes classes qui composent chacun d’eux ; cette inégalité, que les premier
26 our transmis le sceptre du monde à des peuples si différens de cultes et de mœurs, depuis ceux de l’Asie antique jusqu’aux plus r
27 opres maximes. Le cosmopolite considère donc les différents régimes existants comme autant … d’échafaudages pour l’édification d
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 2. Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
28  : 1. La réduction et la fixation de la force des différentes nations qui composent le système européen ; 2. l’émancipation des dép
29 en vigueur dès la ratification du Traité par les différents États. De cette manière, la masse des peuples, qui est la partie la p
30 t-être pas mauvais de fixer le contingent que les différents États devraient fournir pour donner force aux décrets du Tribunal. Ma
31 ndres détails une constitution fédérale entre les différents États. Pour réaliser ce plan, on pourrait prévoir plusieurs formes. A
32 suffisante. L’état de nature, qui règne entre les différents pays, ne cessera véritablement sur toute la surface de la Terre que l
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 3. Synthèses historico-philosophiques (I)
33 ’égard des autres, dans des positions entièrement différentes . Ainsi, par l’étrange tournure que prirent les choses, la séparation
34 ent victimes, et qui étaient encore à l’époque si différents par leur population et par leur agriculture ; elles foulèrent aux pie
35 ef visible de cette dernière. Aux peuples de race différente qui vinrent plus tard, on inculqua, en même temps que la nouvelle rel
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 4. Napoléon et l’Europe
36 de nos tribunaux. Une même monnaie sous des coins différents  ; les mêmes poids, les mêmes mesures, les mêmes lois, etc., etc. L’Eu
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 5. L’Europe des adversaires de l’empereur
37 ns nationaux et investi du pouvoir de juger leurs différens . … Il en est du gouvernement européen, comme des Gouvernemens nationa
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 7. Synthèses historico-philosophiques (II)
38 nt partagés, et s’exerçaient même sous des formes différentes  ; de sorte que l’on ne cherchait l’unité qui subsistait malgré ce par
39 d’une force extraordinaire, revêtir un aspect si différent de l’état auquel nous sommes accoutumés. Avant que cette propension à
40 rivalité entre États, de forces particulières et différentes l’une de l’autre. Cette diversité est devenue, tout au long des siècl
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 1. De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
41 féminin, l’humanité s’est divisée en peuples très différents , dont chacun parlait sa propre langue et montrait de nombreux traits
42 il percevait l’harmonie universelle de leurs sons différents .194 Mais ces élans lyriques ne l’empêchent pas longtemps d’exercer
43 ation de l’Europe, avait pour but d’instituer les différentes chrétientés nationales », écrivait-il en 1843, dans un ouvrage publié
44 t rien devoir à personne ? Les deux cas sont très différents . Car la France de 1848 se considère comme une nation qui vient de ren
45 divin qui la purifie. La société a suivi une voie différente . En donnant pour mort l’empire de la foi, et en proclamant l’indépend
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 2. Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
46 e l’Europe, en ces siècles de sauvagerie, ait été différente des terres qui sont restées telles quelles jusqu’à nos jours. L’Europ
47 oujours plus étendus et conférèrent à des peuples différents par leur origine, souvent même ennemis héréditaires, un aspect unifor
48 azzini est avant tout un agitateur. D’où l’emploi différent des idées, chez l’un et l’autre. Le philosophe vérifie des concepts e
49 très particulier. De même le peuple suisse et les différentes républiques suisses — je pense aussi bien aux petites républiques can
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 3. Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
50 scutablement partie. Mais le cas de la Russie est différent . Elle peut choisir d’être d’Europe ou non, selon que l’Europe sera co
51 a terre deux grands peuples qui, partis de points différents , semblent s’avancer vers le même but : ce sont les Russes et les Angl
52 ; l’autre, la servitude. Leur point de départ est différent , leurs voies sont diverses ; néanmoins, chacun d’eux semble appelé pa
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 4. De l’historisme au pessimisme
53 t pas comparables ici et là, et les fins d’ordres différents . Ranke est en plus d’un sens l’anti-Hegel, par sa volonté d’objectivi
54 que puissent être nos déchirements intérieurs, si différentes et souvent même hostiles nos tendances, nous n’en formons pas moins,
55 aient, puis il l’a transformée complètement ; par différentes voies il pénètre jusqu’au fond de la lointaine Asie où il n’y a guère
56 le consentement actuel, par la volonté qu’ont les différentes provinces d’un État de vivre ensemble.246 Douze ans plus tard, dan
57 puisqu’elle a été faite par l’assentiment de ses différentes parties, compte trois ou quatre langues. Il y a dans l’homme quelque
16 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 2. Crépuscule ou nouvelle aurore ?
58 t la guerre de 1914, nous exposent l’histoire des différentes parties de l’Europe, de leurs développements respectifs, surtout de l
17 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
59 ance, l’Humanisme et la Réforme. La réalité toute différente , c’est qu’alors, au xvie siècle, la sécularisation était déjà parven
60 us par mer et se sont infiltrés à l’intérieur des différents pays. Les Asiatiques pourront également rappeler que, pendant la même
61 imaginèrent eux aussi, durant quelque temps, être différents du reste des humains… Au iie siècle avant Jésus-Christ, les Grecs co
62 ue assez ample et assez pondéré pour englober les différents ordres de vie, si diversement développés dans l’expansion du monde co
63 quence, le Français, l’Allemand, etc., deviennent différents de ce qu’ils étaient autrefois : c’est que leurs relations avec le to
64 ionalité, mène à la bestialité ». Le fait que les différents peuples se complètent mutuellement devient pour la conscience une vér
65 ture et politique peut mener dans deux directions différentes . D’une part, en effet, cette confusion peut rendre une nation intolér
66 ourrissant d’elle — et dans cette mesure elle est différente de la structure politique d’autres nations. Il importe d’être bien cl
67 e, mais une foule amorphe d’êtres humains parlant différentes langues. Ajoutons que ces êtres humains n’auront plus de raison valab
68 ront plus de raison valable de parler des langues différentes , parce qu’ils n’auront plus rien à dire qui ne puisse être dit tout a
69 françaises, vérifiables grâce aux mots adoptés à différentes périodes. Le xvie siècle voit augmenter le nombre des mots nouveaux
70 s et Irlandais continuent à exprimer des musiques différentes … Et je pense que la raison pour laquelle l’anglais est un si bon lang
71 de reprendre le problème d’une façon entièrement différente et de comprendre qu’aujourd’hui il ne peut plus être question d’une c
18 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Appendice. Manifestes pour l’union européenne, (de 1922 à 1960)
72 ppement harmonieux en réduisant l’écart entre les différentes régions et le retard des moins favorisées. Désireux de contribuer, gr