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’innombrables expressions exclamatives et par des
fêtes
communes50. Hélas ! printemps prématuré. Tôt après Charlemagne, en ef
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d Europagedanke, Münich, 1951, p. 417, cite une «
Fête
de la Toussaint de l’Europe » (a feast of the Saints of Europe) insti
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le bruit des arts, et les cris d’allégresse et de
fête
: ces marbres amoncelés formaient des palais réguliers ; ces colonnes
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les victoires de l’armée de la Liberté par une «
fête
de l’Humanité », que Vergniaud célèbre en ces termes : Chantez donc,
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ues, pour célébrer le « Liebesmahl », l’agape, la
Fête
de la paix. Les fragments que nous citons restituent la succession de
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de chaudes larmes, de grandes agapes en guise de
fête
de la paix. Seule la religion peut réveiller l’Europe et rassurer les
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uffé par les clameurs du chauvinisme célébrant sa
fête
sacrée. Même sort ou pire, fut réservé aux appels d’un Romain Rolland