1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 artition mythique de la terre va dominer toute la géographie du Moyen Âge. Elle se fonde sur les chapitres 9 et 10 de la Genèse, q
2 ntaisiste, voici la celtique : dans leur Atlas de géographie ancienne et moderne publié en 1829, Lapie père et Lapie fils font dér
3 à Paris une Méthode pour apprendre facilement la géographie . On y lit : On ne peut pas nier que l’Europe ne soit la moins étendu
4 ême idée encore, et mêmes termes presque, dans la Géographie universelle de Mantelle et Malte Brun, parue à Paris en 1816 : En so
5 chrétienne qui a conçu par l’Esprit. 7.De la géographie à l’histoire Des pages qui précèdent, deux conclusions se dégagent
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 4. De l’historisme au pessimisme
6 x définie par ses « frontières naturelles » ? La géographie , ce qu’on appelle les frontières naturelles, a certainement une part
7 art considérable dans la division des nations. La géographie est un des facteurs essentiels de l’histoire… Peut-on dire cependant,
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
8 e, les sciences et la technique, l’histoire et la géographie , la sociologie et la psychologie, le Musée et le Laboratoire, etc.) s