1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 r, grâce à leur administration prévoyante, à leur goût pour les arts et à leur parfaite entente de toutes les conditions de
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 5. Les grands desseins du xviie siècle
2 le roi d’Angleterre fît démonstration d’y prendre goût , voire de les louer et approuver, si ne laissa-t-il pas d’en vouloir
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 1. Perspectives élargies
3 s et autres Européens… Car mon inclination et mon goût vont au Bien Général.109 En 1670, déjà, Leibniz redoutant les ambit
4 égnent sur des peuples faibles et très simples de goûts . Mais si l’on passe à la zone tempérée, on trouve que la nature y a d
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 2. L’Europe des lumières
5 ez les autres ; l’invention de l’imprimerie et le goût général des lettres, qui a mis entre eux une communauté d’études et d
6 ournellement par la pente générale de prendre les goûts et les mœurs des Français ». Au cosmopolitisme à la mode, il oppose u
7 ationales qui forment le génie, le caractère, les goûts et les mœurs d’un peuple, qui le font être lui et non pas un autre… I
8  ; il n’y a que des Européens. Tous ont les mêmes goûts , les mêmes passions, les mêmes mœurs, parce qu’aucun n’a reçu de form
9 ale, et diriger tellement leurs opinions et leurs goûts , qu’elles soient patriotes par inclination, par passion, par nécessit
10 s puisons encore les préceptes et les exemples du goût le plus pur, et qui, à la renaissance des lettres, nous ont du moins
11 , du moins les monuments du génie, les modèles du goût peu consultés, peu suivis, furent conservés dans les mains de l’ignor
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 3. Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
12 Europe, dans un siècle où l’art et la science, le goût , la civilisation et le raffinement ont gravi, en un laps de temps rel
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 7. Synthèses historico-philosophiques (II)
13 spoir illimité de puissantes sphères d’action, le goût de la nouveauté, et de la jeunesse, les relations familières entre to
14 vérités universellement humaines et valables, le goût du droit individuel et de la propriété collective, et le vigoureux se
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 4. De l’historisme au pessimisme
15 a de « bonne compagnie », de tendres ardeurs, de goût enfantin pour la chinoiserie et la fioriture, de politesse du cœur, d
16 ini. — Mais n’en doutez pas, l’intelligence et le goût de Beethoven passeront plus vite encore ; car celui-là ne fut que le
17 que Mozart fut la dernière expression de tout un goût européen vivant depuis des siècles. Beethoven est l’intermède entre u
18 l’instinct propres à comprendre toutes choses, le goût et le tact pour toutes choses : ce qui démontre clairement que c’est
19 tout cela nous n’avons peut-être pas beaucoup de goût . Avouons-le en fin de compte : ce qui, pour nous autres hommes du « s
20 plus importante, c’est peut-être une question de goût . Pour ma part, en ces dernières heures du siècle, je voudrais méditer
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
21 ssent comme des champignons de choix à l’ombre du goût , autant de formes de la vie européenne qui échapperont toujours au ca
22 tre histoire concourent ainsi à nous désarmer. Ce goût de l’autocritique ne tirerait pas à conséquence si nous étions certai