1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 gions de l’univers alors connu. C’est à la Bible, interprétée par les premiers Pères de l’Église, qu’entend remonter, dès le ive s
2 aux yeux des Pères. Et le mythe de Japhet, ainsi interprété , exprimerait assez bien l’état du continent dans la seconde moitié de
3 roit pouvoir réfuter la légende en affectant de l’ interpréter littéralement jusqu’à l’absurde — l’un de ses procédés favoris : Je
4 phet est promise dilatation, ou, comme d’autres l’ interprètent , joie, laquelle il devait obtenir lorsque le Christ nous aurait rache
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 1. De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
5 ope et en monde ne sera-t-elle pas nécessairement interprétée par les autres comme un désir secret de gagner tout l’univers au styl
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 1. « Tout s’est senti périr »
6 és à l’école du « mais-aussi-en-outre ». Tout est interprété , analysé, résolu, même le danger. Dans toutes les parties de la monar
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
7 phie. La « crise » alors pourrait être clairement interprétée comme l’apparent échec du rationalisme… se compromettant dans le natu
8 dernier ouvrage il insiste sur l’impossibilité d’ interpréter aucune de nos « littératures nationales » en l’isolant artificielleme