1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 t rien.13 Mais les enfants parfois sont mauvais juges et la gaminerie de Voltaire a tort en l’occurrence. L’émigration des
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 2. Premiers plans d’union
2 , qui après avoir prêté serment (éliraient) trois juges parmi les prélats et trois autres pour chacune des parties, hommes ai
3 es parties n’est pas contente de la sentence, les juges eux-mêmes doivent renvoyer tout le procès, accompagné des sentences,
4 né par cet avocat de l’État national pour être le juge suprême dans les litiges des princes superioris in terris non recogno
5 ner à choisir des arbitres ou à plaider devant le juge compétent ou devant le Parlement ou Consistoire ci-dessous désigné. E
6 viter qu’ils ne s’éternisent, nous voulons que le juge lui-même et ses assesseurs rendent leur jugement et la justice aux pl
7 l’Assemblée elle-même ou la majorité de celle-ci juge devoir en ordonner et disposer autrement, l’Assemblée elle-même ait u
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 5. Les grands desseins du xviie siècle
8 jugement d’un tiers. Or si un prince recevoit un juge qui voulust impérieusement s’ingérer de vuider les differens, cela vé
9 conséquence seront décidez à l’ordinaire par les Juges du lieu où demeure le Défenseur : chaque Souverain prêtera la main à
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 6. En marge des grands plans, l’utopie prolifère
10 nry IV » (Sully), de Goudet, et de l’abbé, et les juges irréalistes, parce que contraires au principe triomphant de la souver
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 1. Perspectives élargies
11 nt, comme en effet il faisoit autrefois figure de juge entre les princes chrétiens. Mais il faudroit en même temps que les e
12 aussi bien que les superstitions romaines.112 Je juge que cette mission est la plus grande affaire de notre temps, tant pou
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 4. Pendant ce temps, l’Amérique du Nord…
13 d’Amérique, les professeurs et les étudiants, les juges de la Cour suprême, y voient avec raison le premier commentaire de la
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 3. Synthèses historico-philosophiques (I)
14 ce qui concerne sa législation et sa fonction de juge .150 Faut-il se lamenter sur la division de l’Europe ? Non, il serai
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 5. L’Europe des adversaires de l’empereur
15 ui a produit le Marché commun et l’OCDE. Qu’on en juge  : Le traité de Westphalie établit un nouvel ordre de choses par une
16 , et examinée et résolue par lui. Il sera le seul juge des contestations qui pourront s’élever entre les Gouvememens. Le par
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 1. « Tout s’est senti périr »
17 ter la Deuxième Guerre mondiale. Paul Valéry les juge ainsi : L’Europe avait en soi de quoi ordonner à des fins européenne
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
18 commun ; le même droit et le même dieu ; un seul juge pour le temps, un seul Juge dans l’éternité. Mais, tandis que la conq
19 e même dieu ; un seul juge pour le temps, un seul Juge dans l’éternité. Mais, tandis que la conquête romaine n’avait saisi q