1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 la conduire en Crète, où elle deviendra reine, et mère des rois de la dynastie de Minos. De cette légende, qui inspira sans
2 là que se célébreront tes noces. Et je te rendrai mère de nobles fils, qui tous, parmi les hommes, seront porteurs de sceptr
3 le conçut des enfants du fils de Cronos et devint mère . C’est sans nul doute le songe du début de l’Idylle qui contient, po
4 u déclin de la Crète et de son culte de la Grande Mère , éclaire et reflète à la fois la naissance de l’Europe hellénique. Ai
5 eux que personne : Europe nous est venue d’Asie, mère de toutes les grandes religions, génératrice de tous les grands mythe
6 oration de la terre et de la fécondité, la Grande Mère où tout est un et divers à la fois. Dès que ce mythe arrive au bord d
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 2. Premiers plans d’union
7 ction gracieuse et contentieuse en même temps que mère et mixte empire, selon que ladite Assemblée ou la majorité de celle-c
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 2. L’Europe des lumières
8 le. Tout vrai républicain suça avec le lait de sa mère l’amour qui fait toute son existence : il ne voit que la patrie, il n
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 4. Pendant ce temps, l’Amérique du Nord…
9 dées étaient européennes. Elle ne se sépara de la mère patrie que sur la seule question de la réalisation de ces idées. Or à
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 2. Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
10 ommuns, et que l’Europe puisse être tenue pour la mère universelle de tous ses habitants ! Il demandait la convocation d’u
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 1. De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
11 ivers au style de vie et de pensée d’une « nation mère  » ? Parlant des « sauvages » de l’empire français qui viennent contem
12 autres nations sont seulement des sœurs, elle est mère . Cette maternité de la généreuse France éclate dans tous les phénomèn
13 nde pour n’être qu’une patrie. On se sépare de sa mère qui devient déesse. Encore un peu de temps, et tu t’évanouiras dans l
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 2. Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
14 ment d’unité prenant racine certainement en Asie, mère antique des religions, des empires, des écritures et des arts, il y a
15 n pille, on extermine, on égorge les pères et les mères , on vend les petites filles et les petits garçons ; c’est que, les en
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 3. Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
16 , qui l’environnent au milieu de ses jeux, que sa mère lui souffle dans ses caresses ; qui, sous la forme de sentiments dive
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 4. De l’historisme au pessimisme
17 nce dans le monde. Cette Europe, la leur, devenue mère ou tutrice de tous les peuples, source des pensées et des inventions,