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la conduire en Crète, où elle deviendra reine, et
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des rois de la dynastie de Minos. De cette légende, qui inspira sans
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là que se célébreront tes noces. Et je te rendrai
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de nobles fils, qui tous, parmi les hommes, seront porteurs de sceptr
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le conçut des enfants du fils de Cronos et devint
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. C’est sans nul doute le songe du début de l’Idylle qui contient, po
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u déclin de la Crète et de son culte de la Grande
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, éclaire et reflète à la fois la naissance de l’Europe hellénique. Ai
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eux que personne : Europe nous est venue d’Asie,
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de toutes les grandes religions, génératrice de tous les grands mythe
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oration de la terre et de la fécondité, la Grande
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où tout est un et divers à la fois. Dès que ce mythe arrive au bord d
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ction gracieuse et contentieuse en même temps que
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et mixte empire, selon que ladite Assemblée ou la majorité de celle-c
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le. Tout vrai républicain suça avec le lait de sa
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l’amour qui fait toute son existence : il ne voit que la patrie, il n
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dées étaient européennes. Elle ne se sépara de la
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patrie que sur la seule question de la réalisation de ces idées. Or à
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ommuns, et que l’Europe puisse être tenue pour la
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universelle de tous ses habitants ! Il demandait la convocation d’u
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ivers au style de vie et de pensée d’une « nation
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» ? Parlant des « sauvages » de l’empire français qui viennent contem
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autres nations sont seulement des sœurs, elle est
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. Cette maternité de la généreuse France éclate dans tous les phénomèn
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nde pour n’être qu’une patrie. On se sépare de sa
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qui devient déesse. Encore un peu de temps, et tu t’évanouiras dans l
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ment d’unité prenant racine certainement en Asie,
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antique des religions, des empires, des écritures et des arts, il y a
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n pille, on extermine, on égorge les pères et les
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, on vend les petites filles et les petits garçons ; c’est que, les en
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, qui l’environnent au milieu de ses jeux, que sa
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lui souffle dans ses caresses ; qui, sous la forme de sentiments dive
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nce dans le monde. Cette Europe, la leur, devenue
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ou tutrice de tous les peuples, source des pensées et des inventions,