1 a seconde moitié de notre premier millénaire : ce mélange originellement « indifférent » (à l’égard de la vraie foi) de païens

2 fertile, mieux réunie en toutes ses parties ; le mélange continuel des intérêts que les liens du sang et les affaires du comme

3 noblesse à la campagne, le défaut de commerce, le mélange de tant de peuples et de leurs langages, retinrent longtemps l’Europe

4 fortifiaient le caractère des hommes éclairés. Ce mélange s’est fait lentement, sans doute. La providence éternelle prodigue le

5 l’étude de notre évolution sociale par le vicieux mélange de l’histoire des populations qui, telles que celles de l’Inde, de la

6 la civilisation catholique contient le bien sans mélange de mal, et que la civilisation philosophique contient le mal sans mél

7 a civilisation philosophique contient le mal sans mélange de bien… Si je considère la civilisation catholique dans sa réalité h

8 éodore Jouffroy : De l’État actuel de l’Humanité, mélanges philosophiques, Bruxelles, 1834. 192. An Gustav Kolb, Florenz, 11-11

9 e non romantique, les valeurs dures, nettes, sans mélange . Quant au chaos moderne, il nous conduit au pire, mais il se peut que

10 demi-barbarie où l’Europe a été précipitée par le mélange démocratique des rangs et des races. Le xixe siècle est le premier q

11 tatives extrêmes et n’ai-je pas abusé des savants mélanges  ? Faut-il laisser de côté mes devoirs difficiles et mes ambitions tra

12 e entre la volonté et l’esprit. C’est cet heureux mélange des deux facultés les plus différenciées chez l’homme, l’esprit et la

13 rès ample et ne doit pas être compris comme si ce mélange d’esprit et de volonté était un don dénié aux personnes nées dans tou