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tre ère, selon les anciennes chroniques grecques,
méprisées
par le xixe siècle mais confirmées par les recherches et trouvailles
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ue à toi sous l’habit de ces pèlerins, et tu m’as
méprisée
; va donc dans la servitude là où il y aura le sifflement du knout et
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l se trouve que les époques qu’il vénère ou qu’il
méprise
sont les mêmes que Burckhardt a louées ou négligées. Son Europe est g
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enseignent à adorer l’instinct qui les divise, à
mépriser
l’intelligence qui pourrait les unir. Le xxe siècle qui verra peut-ê
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mesure exacte où ils lui obéissaient. Les Romains
méprisaient
les étrangers, les ennemis, les vaincus, leurs sujets, leurs esclaves
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mirer la force, ne pas haïr les ennemis et ne pas
mépriser
les malheureux.284 Ne jamais admirer la force… C’est la devise inv
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t à l’Europe finalement — cette Europe si souvent
méprisée
par les spirituels de l’Orient, tandis que leurs masses envient son r