1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 tre ère, selon les anciennes chroniques grecques, méprisées par le xixe siècle mais confirmées par les recherches et trouvailles
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 1. De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
2 ue à toi sous l’habit de ces pèlerins, et tu m’as méprisée  ; va donc dans la servitude là où il y aura le sifflement du knout et
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 4. De l’historisme au pessimisme
3 l se trouve que les époques qu’il vénère ou qu’il méprise sont les mêmes que Burckhardt a louées ou négligées. Son Europe est g
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 2. Crépuscule ou nouvelle aurore ?
4 enseignent à adorer l’instinct qui les divise, à mépriser l’intelligence qui pourrait les unir. Le xxe siècle qui verra peut-ê
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
5 mesure exacte où ils lui obéissaient. Les Romains méprisaient les étrangers, les ennemis, les vaincus, leurs sujets, leurs esclaves
6 mirer la force, ne pas haïr les ennemis et ne pas mépriser les malheureux.284 Ne jamais admirer la force… C’est la devise inv
7 t à l’Europe finalement — cette Europe si souvent méprisée par les spirituels de l’Orient, tandis que leurs masses envient son r