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tre privé sans mener pour cela une existence plus
misérable
que ne l’est en somme celle des peuples qui en regorgent. Ajoutons en
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sclavage perpétuel dans lequel ils traînaient une
misérable
existence. On ravageait les villes conquises, ou l’on en chassait les
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ique, des chefs si bienfaisants et des peuples si
misérables
, des gouvernements si modérés et des guerres si cruelles : on sait à
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en guerre avec les plus proches. … En général, si
misérable
que puisse paraître la condition de ces anciennes peuplades, celles-c
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tares du voisin et à raisonner sur l’instant. Les
misérables
Européens ont mieux aimé jouer aux Armagnacs et aux Bourguignons que
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ereux dont le contact pouvait être funeste à leur
misérable
divinisation de l’esclavage. Aussi ont-ils impitoyablement détruit la
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yzance, ne leur sembleront peut-être qu’un remous
misérable
à côté de l’esprit acharné qui dit aux immenses ombres menaçantes qui
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avenir de toute l’humanité. Quel est donc le sort
misérable
auquel l’Europe se voit réduite ? Quelques-uns des petits États ont c