1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 ohistoire d’un continent sans nom La quatrième période glaciaire avait recouvert près de la moitié des plaines et des montag
2 s arts et métiers : le vase de Vix illustre cette période dite de Hallstatt. Celle-ci fera place à la civilisation des Celtes,
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 1. Sur plusieurs siècles de silence « européen »
3 ur l’Europe. Et pourtant, c’est précisément cette période des xiie et xiiie siècles que tant d’ouvrages récents désignent, da
4 sté nulle conscience de former une Europe ? Cette période d’unité exemplaire serait aussi celle où le sujet de cette unité eût
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 2. Premiers plans d’union
5 e ville X de France, et, au cours de la troisième période de cinq ans, dans une cité X d’Italie, de sorte qu’en faisant toujour
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 3. Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
6 ’il entend « borner l’étude de l’Histoire à cette période surtout où les différentes Puissances de l’Europe s’étant plus étroit
7 de Charles-Quint peut donc être regardé comme la période à laquelle l’état politique de l’Europe commença de prendre une nouve
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 3. Synthèses historico-philosophiques (I)
8 nt un long espace de temps. On en est encore à la période des essais pour en former. De plus, on a jusqu’ici conçu la mission d
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 7. Synthèses historico-philosophiques (II)
9 l’absence des dieux, règnent les fantômes, et la période qui a vu naître les fantômes en Europe, et qui en explique à peu près
10 plique à peu près complètement la forme, c’est la période de transition entre la religion grecque et le christianisme. Entrez d
11 e manière si arrogante et si dédaigneuse, dans la période subséquente. Les connaissances utiles ainsi que les pensées salutaire
12 élaboré, l’Histoire doit donc se diviser en trois périodes , qui correspondent en termes théologiques au Père, au Fils et au Sain
13 essive de l’absolu. Nous pouvons distinguer trois périodes dans cette manifestation et, par conséquent, aussi trois périodes dan
14 tte manifestation et, par conséquent, aussi trois périodes dans l’histoire. La première période est celle où seul domine le dest
15 aussi trois périodes dans l’histoire. La première période est celle où seul domine le destin ; force absolument aveugle, il dét
16 e qu’il y a de plus grand et de plus noble. Cette période de l’histoire, que nous pouvons appeler tragique, est celle de la déc
17 la terre est l’objet de vœux éternels. La seconde période est celle où ce qui dans la première apparaissait comme destin, c’est
18 lle des peuples et l’État universel. La troisième période sera celle où les forces que dans les périodes précédentes l’on attri
19 ème période sera celle où les forces que dans les périodes précédentes l’on attribuait au destin ou à la nature, se développeron
20 qui ne se révélait qu’imparfaitement. Quand cette période commencera, nous ne pouvons le dire. Mais quand cette période sera, D
21 encera, nous ne pouvons le dire. Mais quand cette période sera, Dieu aussi sera. On ne saurait donc envisager l’existence durab
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 1. De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
22 était relatif, exceptionnel et contingent. Cette période de rapide rétrogradation a commencé en Europe avec la restauration du
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 3. Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
23 é sur elle son empreinte, il a presque marqué une période dans l’histoire de notre civilisation. Cette façon à nous de considér
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 4. De l’historisme au pessimisme
24 réclamer un droit celtique antérieur, et avant la période celtique, il y avait, dit-on, les allophyles, les Finnois, les Lapons
25 « l’esprit finisse par y trouver son profit ». La période « plébéienne » et « demi-barbare » que notre civilisation doit traver
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 1. « Tout s’est senti périr »
26 re, et si possible durer plus longtemps que cette période , mais il faudra attendre longtemps que cesse de résonner la note nati
27 ale fut peut-être le vieillissement) cette grande période montra, dès le début du xive siècle, les signes d’un déclin qui se p
28 sont comme les premières secondes d’une nouvelle période de transformation de la planète. Comparée aux milliers d’années qui s
29 éontologiques, depuis l’apparition de l’homme, la période historique est comme une première ébauche des possibilités qui se son
30 nt par rapport à notre existence très limitée une période très longue. Le souvenir nous donne évidemment la conscience de notre
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
31 chronologique — qui perd son importance dans une période si courte où chacun réagit à tous les autres et presque simultanément
32 osent, sur ce sujet, non sans violence, durant la période dite de l’entre-deux-guerres (1919-1939). L’une, optimiste par progra
33  » et qu’elle a présenté la civilisation de cette période comme l’expression sociale de l’idéal chrétien… Au dernier siècle et
34 un danger pour la tradition socratique. Ce fut la période de lutte entre la science et l’Église, l’ère de l’Inquisition, de Gio
35 pourront également rappeler que, pendant la même période , les Occidentaux se sont taillé la part du lion dans les parties du g
36 dent est certainement justifié, du moins pour une période de quatre siècles et demi, période qui s’achève en 1945. Jusqu’à cett
37 moins pour une période de quatre siècles et demi, période qui s’achève en 1945. Jusqu’à cette date, aux yeux du monde, c’est l’
38 4, 1914, voilà les deux dates qui encadrent cette période de l’histoire pendant laquelle l’Europe a indiscutablement dominé le
39 ’histoire ? De ce fait commence sous nos yeux une période nouvelle de l’évolution humaine, faisant suite à la période gréco-rom
40 uvelle de l’évolution humaine, faisant suite à la période gréco-romaine-européenne, mais à vrai dire ne remplaçant pas celle-ci
41 a « formation de l’Europe », c’est-à-dire sur les périodes pré-nationales de notre histoire. Le plus récent d’entre eux, Henri B
42 vérifiables grâce aux mots adoptés à différentes périodes . Le xvie siècle voit augmenter le nombre des mots nouveaux formés d’
43 vec la culture européenne. Elle embrasse donc une période de vingt-six siècles (d’Homère à Goethe)… Elle constitue une « unité
44 ilisation qui demeura statique durant toute cette période . L’Europe, d’autre part, est le continent dont la science et la techn