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ohistoire d’un continent sans nom La quatrième
période
glaciaire avait recouvert près de la moitié des plaines et des montag
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s arts et métiers : le vase de Vix illustre cette
période
dite de Hallstatt. Celle-ci fera place à la civilisation des Celtes,
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ur l’Europe. Et pourtant, c’est précisément cette
période
des xiie et xiiie siècles que tant d’ouvrages récents désignent, da
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sté nulle conscience de former une Europe ? Cette
période
d’unité exemplaire serait aussi celle où le sujet de cette unité eût
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e ville X de France, et, au cours de la troisième
période
de cinq ans, dans une cité X d’Italie, de sorte qu’en faisant toujour
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’il entend « borner l’étude de l’Histoire à cette
période
surtout où les différentes Puissances de l’Europe s’étant plus étroit
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de Charles-Quint peut donc être regardé comme la
période
à laquelle l’état politique de l’Europe commença de prendre une nouve
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nt un long espace de temps. On en est encore à la
période
des essais pour en former. De plus, on a jusqu’ici conçu la mission d
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l’absence des dieux, règnent les fantômes, et la
période
qui a vu naître les fantômes en Europe, et qui en explique à peu près
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plique à peu près complètement la forme, c’est la
période
de transition entre la religion grecque et le christianisme. Entrez d
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e manière si arrogante et si dédaigneuse, dans la
période
subséquente. Les connaissances utiles ainsi que les pensées salutaire
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élaboré, l’Histoire doit donc se diviser en trois
périodes
, qui correspondent en termes théologiques au Père, au Fils et au Sain
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essive de l’absolu. Nous pouvons distinguer trois
périodes
dans cette manifestation et, par conséquent, aussi trois périodes dan
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tte manifestation et, par conséquent, aussi trois
périodes
dans l’histoire. La première période est celle où seul domine le dest
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aussi trois périodes dans l’histoire. La première
période
est celle où seul domine le destin ; force absolument aveugle, il dét
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e qu’il y a de plus grand et de plus noble. Cette
période
de l’histoire, que nous pouvons appeler tragique, est celle de la déc
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la terre est l’objet de vœux éternels. La seconde
période
est celle où ce qui dans la première apparaissait comme destin, c’est
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lle des peuples et l’État universel. La troisième
période
sera celle où les forces que dans les périodes précédentes l’on attri
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ème période sera celle où les forces que dans les
périodes
précédentes l’on attribuait au destin ou à la nature, se développeron
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qui ne se révélait qu’imparfaitement. Quand cette
période
commencera, nous ne pouvons le dire. Mais quand cette période sera, D
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encera, nous ne pouvons le dire. Mais quand cette
période
sera, Dieu aussi sera. On ne saurait donc envisager l’existence durab
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était relatif, exceptionnel et contingent. Cette
période
de rapide rétrogradation a commencé en Europe avec la restauration du
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é sur elle son empreinte, il a presque marqué une
période
dans l’histoire de notre civilisation. Cette façon à nous de considér
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réclamer un droit celtique antérieur, et avant la
période
celtique, il y avait, dit-on, les allophyles, les Finnois, les Lapons
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« l’esprit finisse par y trouver son profit ». La
période
« plébéienne » et « demi-barbare » que notre civilisation doit traver
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re, et si possible durer plus longtemps que cette
période
, mais il faudra attendre longtemps que cesse de résonner la note nati
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ale fut peut-être le vieillissement) cette grande
période
montra, dès le début du xive siècle, les signes d’un déclin qui se p
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sont comme les premières secondes d’une nouvelle
période
de transformation de la planète. Comparée aux milliers d’années qui s
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éontologiques, depuis l’apparition de l’homme, la
période
historique est comme une première ébauche des possibilités qui se son
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nt par rapport à notre existence très limitée une
période
très longue. Le souvenir nous donne évidemment la conscience de notre
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chronologique — qui perd son importance dans une
période
si courte où chacun réagit à tous les autres et presque simultanément
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osent, sur ce sujet, non sans violence, durant la
période
dite de l’entre-deux-guerres (1919-1939). L’une, optimiste par progra
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» et qu’elle a présenté la civilisation de cette
période
comme l’expression sociale de l’idéal chrétien… Au dernier siècle et
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un danger pour la tradition socratique. Ce fut la
période
de lutte entre la science et l’Église, l’ère de l’Inquisition, de Gio
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pourront également rappeler que, pendant la même
période
, les Occidentaux se sont taillé la part du lion dans les parties du g
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dent est certainement justifié, du moins pour une
période
de quatre siècles et demi, période qui s’achève en 1945. Jusqu’à cett
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moins pour une période de quatre siècles et demi,
période
qui s’achève en 1945. Jusqu’à cette date, aux yeux du monde, c’est l’
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4, 1914, voilà les deux dates qui encadrent cette
période
de l’histoire pendant laquelle l’Europe a indiscutablement dominé le
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’histoire ? De ce fait commence sous nos yeux une
période
nouvelle de l’évolution humaine, faisant suite à la période gréco-rom
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uvelle de l’évolution humaine, faisant suite à la
période
gréco-romaine-européenne, mais à vrai dire ne remplaçant pas celle-ci
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a « formation de l’Europe », c’est-à-dire sur les
périodes
pré-nationales de notre histoire. Le plus récent d’entre eux, Henri B
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vérifiables grâce aux mots adoptés à différentes
périodes
. Le xvie siècle voit augmenter le nombre des mots nouveaux formés d’
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vec la culture européenne. Elle embrasse donc une
période
de vingt-six siècles (d’Homère à Goethe)… Elle constitue une « unité
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ilisation qui demeura statique durant toute cette
période
. L’Europe, d’autre part, est le continent dont la science et la techn