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e mythique, ni de l’Occident en général, ni de la
papauté
, ni de leur « nation » ou patrie particulière, mais bien comme les me
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é spirituelle deviendra l’autre pôle, celui de la
papauté
. Dès 843, Léon IV s’oppose au Patriarche de Constantinople, en invoqu
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Europe contre l’Empire romano-byzantin. Empire et
papauté
, dans les siècles à venir, qui seront notre Moyen Âge, vont remplir l
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désormais, ce qui passionne c’est l’Empire et la
papauté
se disputant la primauté, et les deux parties n’en appellent (ne saur
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ns-le dans le débat du siècle, entre l’Empire, la
papauté
et les nations. 53. On pense ici aux ouvrages de J. Calmette, de Lo
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s, la sympathie qu’éprouvait ce luthérien pour la
papauté
se manifeste à maintes reprises, quoique parfois teintée de quelque i
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de l’hellénisme. L’Empire de Charlemagne, puis la
papauté
(Schlegel allait devenir catholique en 1808) ont représenté les plus
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er. Ranke ne croit nullement que le conflit de la
papauté
et de l’Empire, puis du Catholicisme et de la Réforme, aient été des
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semble, se demande Burckhardt ? Et il répond : la
papauté
, le Saint-Empire, la conquête de l’Outremer, quelques grandes individ
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, des cantons suisses, des Flandres. Celles de la
papauté
produisent le même effet sur les diverses parties de la chrétienté. T