1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 ises allusions et au centre duquel se situent des poèmes légendaires comme l’épopée de Keret (retrouvée à Ras Shamra en 1929).
2 étonner le lecteur des travaux de Bérard sur les poèmes homériques et la Bible et sur les origines sémitiques de tant de noms
3 rodote43 — l’autonomie historique de l’Europe. Un poème latin de Claudius Claudien (né à Alexandrie vers 365, et demeuré païe
4 de regnum Europæ — empire unique —, voici dans un poème de l’Espagnol Theowulf (après 814) l’expression de regna, ou royaumes
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 1. De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
5 inte — nul jour de joie ne l’attend.196 Dans le poème intitulé Germania, Heine a ce nouvel élan d’espoir : La vierge Europ
6 usement les bras pour un premier baiser… Mais le poème s’ouvrait par une affirmation délirante : « Oui, le monde entier sera
7 niverselle de la Russie.199 Et Petöfi, dans son poème de 1848 intitulé Silence de l’Europe : L’Europe se tait… Honte à cet
8 les Russes. Voici quelques strophes de son grand poème intitulé Le Livre des Pèlerins 200 : Lorsque la Liberté siégera dans
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 4. De l’historisme au pessimisme
9 out au long d’une œuvre importante qui s’étend du poème intitulé « Europe », publié en 1915, jusqu’à des campagnes de presse
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
10 t produit les peuples d’Europe ne vaut le premier poème connu qui soit apparu chez l’un d’eux. Ils retrouveront peut-être le
11 ondamentaux. La liturgie profane intériorisée des poèmes du classicisme allemand est aussi peu concevable sans la liturgie de
12 es sources : sans même parler du vocabulaire, les poèmes écrits en anglais par des Anglais, Gallois, Écossais et Irlandais con
13 p. 39 à 42 (chapitre intitulé : « L’Iliade ou le poème de la force »). 285. L’Enracinement, Gallimard, Paris, 1949. 286.