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ises allusions et au centre duquel se situent des
poèmes
légendaires comme l’épopée de Keret (retrouvée à Ras Shamra en 1929).
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étonner le lecteur des travaux de Bérard sur les
poèmes
homériques et la Bible et sur les origines sémitiques de tant de noms
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rodote43 — l’autonomie historique de l’Europe. Un
poème
latin de Claudius Claudien (né à Alexandrie vers 365, et demeuré païe
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de regnum Europæ — empire unique —, voici dans un
poème
de l’Espagnol Theowulf (après 814) l’expression de regna, ou royaumes
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inte — nul jour de joie ne l’attend.196 Dans le
poème
intitulé Germania, Heine a ce nouvel élan d’espoir : La vierge Europ
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usement les bras pour un premier baiser… Mais le
poème
s’ouvrait par une affirmation délirante : « Oui, le monde entier sera
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niverselle de la Russie.199 Et Petöfi, dans son
poème
de 1848 intitulé Silence de l’Europe : L’Europe se tait… Honte à cet
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les Russes. Voici quelques strophes de son grand
poème
intitulé Le Livre des Pèlerins 200 : Lorsque la Liberté siégera dans
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out au long d’une œuvre importante qui s’étend du
poème
intitulé « Europe », publié en 1915, jusqu’à des campagnes de presse
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t produit les peuples d’Europe ne vaut le premier
poème
connu qui soit apparu chez l’un d’eux. Ils retrouveront peut-être le
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ondamentaux. La liturgie profane intériorisée des
poèmes
du classicisme allemand est aussi peu concevable sans la liturgie de
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es sources : sans même parler du vocabulaire, les
poèmes
écrits en anglais par des Anglais, Gallois, Écossais et Irlandais con
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p. 39 à 42 (chapitre intitulé : « L’Iliade ou le
poème
de la force »). 285. L’Enracinement, Gallimard, Paris, 1949. 286.