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royaume, dont la fin est d’assurer, avec plus de
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et de tranquillité les bienfaits de la cité, un seul roi doit régner
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quième bienfait de cette paix est l’aisance et la
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du voyage et du trafic, bonheur qui n’a jamais été apprécié depuis qu
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ntribué à la ruine de Rome, motivent désormais la
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de l’Europe. Et certes il serait aisé de renverser, au nom des expéri
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empire, et celles qui motivent aujourd’hui notre
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. I. Les Romains ignoraient l’étendue de leur danger et le nombre de l
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nt la grande république d’Europe. Cependant cette
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apparente ne doit pas nous faire oublier qu’un peuple obscur, à peine
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ouvernements eussent préféré avec empressement la
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d’une paix durable au succès incertain des guerres ; un tel moment pe
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ause, la fin des hasards et le commencement de la
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. Un nouvel horizon, de nouveaux travaux allaient se dérouler, tous pl
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s États, dont dépendent les conditions de vie, la
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et le développement des peuples. Pour trancher toutes ces questions,
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e service du groupe et l’anarchie libératrice, la
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et le risque, les règles du jeu qui sont pour tous et la vocation qui
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oit être fondée sur le respect de la personne, la
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, la justice sociale, l’utilisation intégrale des ressources économiqu
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’abri de laquelle elle puisse vivre en paix et en
sécurité
. Nous devons construire une sorte d’États-Unis d’Europe. Ainsi seulem