1
ute la terre de leur postérité. Ils ne furent pas
traités
également, car Sem et Japhet ayant couvert la nudité de Noé ivre fure
2
, Hippocrate (ou l’un de ses disciples), dans son
Traité
des airs, des eaux et des lieux fait au chapitre V le premier parallè
3
st illustrée par l’exemple des langues. Citons le
traité
De vulgari eloquentia (I, 8) : Par suite de la confusion des langues
4
effet, le premier écrit qui nous reste de lui, le
Traité
sur l’abrègement des guerres et des procès, daté avec la plus grande
5
es de politique et de réformes sociales. C’est un
traité
adressé à Édouard Ier, sur les moyens de recouvrer la Terre sainte65.
6
e, écrit Chr. L. Lange 66, d’exposer les idées du
traité
de Pierre Dubois d’après le plan suivi par l’auteur lui-même. Son ouv
7
le reproduisent, il porte ce titre en français :
Traité
d’alliance et confédération entre le roy Louis XI, Georges roy de Boh
8
rs, à perpétuité. Les trois premiers articles du
traité
statuent : que les contractants s’abstiendront de recourir aux armes
9
ée doit, au nom de tous ceux qui figurent dans ce
traité
, envoyer immédiatement des ambassadeurs à nos frais communs et sans m
10
r marche contre les Turcs. Mais voici comment le
traité
prévoit le fonctionnement de l’Assemblée fédérale, pièce maîtresse de
11
par cette nation… L’une des dernières clauses du
traité
fut la raison bien évidente de l’échec final du projet : par une ruse
12
recuperatione Terra Sancte. La première partie du
traité
est adressée en forme de circulaire à tous les princes de la chrétien
13
pourquoi les princes ont recours aux armes et aux
traités
. Nous voici donc ramenés à la seule réalité sérieuse, celle des État
14
erté, voici l’auteur de l’Éloge de la Folie et du
traité
Dulce bellum inexpertis (« La guerre est douce à ceux qui ne la conna
15
n autre prend pour prétexte un point omis dans un
traité
de cent chapitres. Celui-ci a un ressentiment contre celui-là au suje
16
rçus, ont survécu dans la mémoire des siècles aux
traités
« réalistes » de l’époque, rapidement effacés par le mouvement de l’h
17
s les princes d’Europe, dans l’envoi de son grand
traité
, qui parut à Paris en 1623 : Le Nouveau Cynée ou Discours d’Estat rep
18
venir à la raison. Dès la première partie de son
traité
, Crucé s’était demandé ce que feraient les peuples, s’ils n’avaient p
19
nglantes, tant de défaites et tant de lamentables
traités
de paix qu’il ne pourra plus en supporter beaucoup d’autres sans péri
20
, en écrivant sa Grande Didactique et de nombreux
traités
spéciaux, à créer la science de l’éducation en Europe. Mais ses reche
21
t (1712) il put voir de tout près la pratique des
traités
et ses défauts. Exclu de l’Académie en 1716 pour avoir critiqué la mé
22
je me trompe, mais on a fondement d’espérer qu’un
traité
se signera quelque jour… C’est avec cette espérance que je me porte a
23
perpétuel de nation à Nation, vouloient faire un
traité
d’Union & un Congrez perpétuel à peu près sur le même modèle, ou
24
& suffisans, qui consistent aux articles d’un
traité
d’union, dans lequel on trouvât pour tout le monde une sûreté suffisa
25
il n’y ait beaucoup plus d’avantages à signer le
traité
pour l’établissement de cette Société, qu’à ne le pas signer. Or la S
26
il n’y ait beaucoup plus d’avantages à signer le
traité
pour l’établissement de cette Société, qu’à ne le pas signer. La maj
27
ssède actuellement, ou qu’il doit posséder par le
Traité
ci-joint… Les Souverains ne pourront entr’eux faire d’échange d’aucun
28
ire d’échange d’aucun Territoire, ni signer aucun
Traité
entr’eux que du consentement, & sous la garantie de l’Union aux t
29
quelques thèmes spécifiquement européens, qu’il a
traités
dans sa correspondance et dans un écrit pseudonyme. Voici d’abord le
30
naçante de Louis XIV en Europe, Leibniz publie un
traité
en latin sous le pseudonyme de Cæsarius Fursterinus, dans lequel il p
31
. Il terminera l’ouvrage en 1773, l’année même du
Traité
consacrant le partage, et l’intitulera Considération sur le gouvernem
32
echerchera votre alliance ; on vous liera par des
traités
: il n’y aura pas une guerre en Europe où vous n’ayez l’honneur d’êtr
33
ur premier point, la nature vienne renouveler ses
traités
avec un autre genre humain. Comme en écho à ces voix optimistes de l
34
sait que le Contrat n’est qu’un fragment du grand
traité
sur les Institutions Politiques qu’il rêva longtemps d’écrire. 133.
35
as de l’intérêt de la Grande-Bretagne d’avoir des
traités
d’alliance, offensive ou défensive, avec quelque puissance que ce soi
36
de l’intérêt de la Grande-Bretagne d’avoir aucun
traité
, avec quelque puissance que ce soit, aux fins de s’assurer quelque av
37
es. XII. Que pour assurer cette pacification, des
traités
généraux et permanents devraient être conclus, limitant les effectifs
38
, pour chaque nation, devrait être stipulé par le
Traité
; et même, avant sa signature, des lois devraient être préparées à ce
39
prêtes à entrer en vigueur dès la ratification du
Traité
par les différents États. De cette manière, la masse des peuples, qui
40
erait pas plus tôt informée de la ratification du
Traité
qu’elle en sentirait les bienfaits. Ils verraient que le Traité a été
41
en sentirait les bienfaits. Ils verraient que le
Traité
a été calculé pour leur avantage, et ne pouvait l’être à nulle autre
42
était âgé de 71 ans lorsqu’il publia en 1795 son
traité
Zum ewigen Friede. Il n’était sorti de sa ville natale de Königsberg
43
République Française. L’essai revêt la forme d’un
traité
international divisé en 6 articles préliminaires, 3 « articles défini
44
tte réunion de tous les souverains, nous eussions
traité
de nos intérêts en famille, et compté de clerc à maître avec les peup
45
ez d’espoirs divers pour que les négociateurs des
Traités
de paix se sentissent obligés de l’honorer au moins des lèvres : Extr
46
l’Europe, ne formant qu’un seul tout. Extrait du
traité
de Chaumont, 1er mars 1814 : Le présent traité d’alliance défensive,
47
u traité de Chaumont, 1er mars 1814 : Le présent
traité
d’alliance défensive, ayant pour but de maintenir l’équilibre en Euro
48
lui-même, l’un des principaux inspirateurs de ces
Traités
, déclarait : Depuis longtemps, l’Europe est pour moi une patrie. To
49
t le Marché commun et l’OCDE. Qu’on en juge : Le
traité
de Westphalie établit un nouvel ordre de choses par une opération pol
50
ur pied, presque toujours actives ; car depuis le
traité
de Westphalie la guerre a été l’état habituel de l’Europe… L’Europe a
51
force. Vouloir que l’Europe soit en paix par des
traités
et des congrès, c’est vouloir qu’un corps social subsiste par des con
52
ois, pour les refouler, ou de les tromper par des
traités
, pour les chasser de leurs marais, ou l’on souffre à mourir de la mor
53
ecqueur, Littré et tant d’autres, tous auteurs de
traités
sur l’unité européenne), Auguste Comte est un défenseur convaincu, qu
54
mato, et qui eut un succès retentissant. Dans son
traité
Della Nazionalità italiana, il donnait la formule du passage « dialec
55
l existe un gouvernement bête fauve, il doit être
traité
en bête fauve ; c’est qu’à l’heure qu’il est, tout près de nous, là,
56
bien avouer que Proudhon garde l’avantage d’avoir
traité
le sujet d’une manière exhaustive et réaliste, avec une sorte d’achar
57
us, génitif fœderis, c’est-à-dire pacte, contrat,
traité
, convention, alliance, etc., est une convention par laquelle un ou pl
58
la Russie, la Prusse, peuvent faire entre eux des
traités
d’alliance ou de commerce ; il répugne qu’ils se fédéralisent, d’abor
59
nger à déplacer les bornes fixées par les anciens
traités
? Toute autre solution laissera la porte ouverte à des vengeances san
60
ême, jusqu’à Bénévent, et en remontant au-delà du
traité
de Verdun, la France entière, en y comprenant même la Catalogne, en o
61
e crise, ils marquèrent leur « victoire » par des
Traités
qui devaient aggraver les causes du mal. L’Europe ne comptait en 1914
62
pas moins de vingt nations souveraines. Après les
Traités
de Versailles, Trianon et St-Germain, elle en compta trente et une (p
63
aveugles aux réalités mondiales, les auteurs des
Traités
posèrent ainsi les bases de l’échec de la Société des Nations et du s
64
l sans Eusèbe de Césarée. De 800 à 1815, tous les
traités
de paix en Europe sont conclus in nomine sanctæ et individuæ Trinitat
65
pports entre les États à cause de l’inique et sot
traité
de paix qui l’a close, a du moins établi une conscience commune des p
66
ue. Si l’on en croit O. Forst de Battaglia et son
Traité
de généalogie, Lausanne, 1945, on peut évaluer à 20 millions le nombr
67
lements, discours d’hommes d’État, préambules aux
traités
et conventions, qui balisent le parcours de l’Idée européenne depuis
68
0.000 kilomètres de barrières douanières) que les
Traités
de paix ont dû créer pour faire droit, en Europe, aux aspirations nat
69
rope. En revanche, trois ans plus tard, c’est le
traité
instituant la Communauté européenne du charbon et de l’acier qui répo
70
cier… Et l’article 1er précise : Par le présent
traité
les Hautes parties contractantes instituent entre elles une Communaut
71
ns et des institutions communes. Le préambule du
traité
instituant la Communauté économique européenne (signé à Rome le 25 ma
72
ictions aux échanges internationaux… En fait, le
Traité
instituant le Marché commun est moins « supranational » dans son espr
73
st moins « supranational » dans son esprit que le
Traité
instituant la CECA. Quant aux aspects politiques de l’union, les port