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èdent, par les voies détournées que l’on sait, le
lyrisme
et le roman modernes, lesquels ne parlent guère que d’un amour « prof
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es romantiques, qui redécouvrent en même temps le
lyrisme
des troubadours, et plusieurs dimensions du fait religieux. Kierkegaa
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bat des prêtres et les « Lois d’Amour », bref, le
lyrisme
, l’érotisme et la mystique déchaînés sur l’Europe entière, et parlant
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e eût fait place au poème et la satire sociale au
lyrisme
intérieur. L’hypothèse n’est pas arbitraire, car c’est précisément ai
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enne. Le comique dévastant, la lucidité calme, le
lyrisme
qui sourd en dépit de l’acuité d’un regard constamment critique, l’in
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vécue. Le style élisabéthain de Kierkegaard, son
lyrisme
énergique, mêlant le trivial aux clichés poétiques, les métaphores au
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ur et leurs épiphanies les plus parfaites dans le
lyrisme
occidental. À la quête spirituelle d’une vision juste, ou peut-être s
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é depuis Montaigne. (Je ne nie pas un instant son
lyrisme
.) Et c’est ainsi qu’il réussit à remplacer le tragique par la perplex