1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
1 la vocation fédératrice de l’Europe, et la sourde angoisse de l’époque devant les prétentions absolutistes des États. Tous les q
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
2 ion a été poussée jusqu’à ce terme, jusqu’à cette angoisse , tout patriotisme meurt au cœur de l’homme ; en troisième heu, il fau
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
3 e par les politiciens aux courtes ruses. Né d’une angoisse prémonitoire, le mot d’ordre des « États-Unis d’Europe » n’est en som
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
4 vèlent une anxiété de l’imagination plutôt qu’une angoisse immédiate, sans horizon. Nous avons vu plus haut Turgot, Gibbon et Co
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
5 preuve —, des heures d’effervescence nationale, d’ angoisse patriotique, des heures où bien d’autres sentiments antiques nous sub
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
6 ans le même désordre mental, à l’appel de la même angoisse , l’Europe cultivée a subi la reviviscence rapide de ses innombrables
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
7 vers une conscience de soi fondée ; il vit dans l’ angoisse qui est l’aiguillon de sa bonne foi. Dans la liberté s’enracinent deu
8 ences, ceux qui viendront regarderont peut-être l’ angoisse contemporaine avec stupéfaction ; et que l’Europe de la prise de Rome