1 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
1 sœur enlevée. Chacun fit voile dans une direction différente . Et l’un fonda Carthage, tandis que d’autres découvraient les rives d
2 e le lieu de rencontre de sept ou huit traditions différentes  : orientales et nordiques, continentales et maritimes, individualiste
2 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
3 es hommes et de leur production était tout à fait différente de ce qu’elle est devenue de nos jours. Il semble bien que ce soit, a
4 par leur complication, ou par leur manière d’être différents  : première formule de l’unité paradoxale qui permettra de définir l’E
5 ius (1583-1645), partant de bases d’ailleurs très différentes , sont considérés, avec Vitoria, comme les fondateurs du ius gentium o
3 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
6 es instinctives ou leur adhésion enthousiaste aux différentes solutions proposées. L’idée d’unir ou de fédérer l’Europe n’est pas n
7 et chaque royaume ou ville retiendrait ses « lois différentes  », adaptées à ses coutumes ; mais « sur les points communs qui intére
4 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
8 le culture indépendante de la nôtre, foncièrement différente de la nôtre, qui serait mieux capable que nous d’exercer la fonction
9 s valeurs spirituelles, même, et parfois surtout, différentes des nôtres : ce n’est point par hasard que l’Europe a créé l’ethnogra