1 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
1 symbole de la vertu et de la beauté, préfigure l’ idéal missionnaire qui sera, quinze à vingt siècles plus tard, celui de l’É
2 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
2 mises en pratique, qu’elles décrivent une Europe idéale , qu’on refuse de reconnaître, qui est celle des autres, de l’autre éc
3 usion de sa propre civilisation et de ses propres idéaux  ? Saura-t-il, enfin, prévenir ces affreux accidents de sa santé menta
3 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
4 tout provoqués par la conquête napoléonienne. À l’ idéal du Saint-Empire et de la Sainte-Alliance des rois de Metternich, il s
5 u’il faut saluer comme le plus grand lyrique de l’ idéal d’union européenne. Voici d’abord un extrait du discours qu’il pronon
4 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
6 ces administrateurs ne sont partis qu’en vertu d’ idéaux européens adoptés par l’élite indigène. Ces idéaux, on les retourne c
7 déaux européens adoptés par l’élite indigène. Ces idéaux , on les retourne contre nous, et contre nos pratiques trop souvent im
8 nous : tant pis pour nous, et tant mieux pour nos idéaux  ! Je ne les vois, pour ma part, nullement menacés par la décolonisati
9 lonisés. Mais voici le troisième grand fait : nos idéaux et nos pratiques ont été diffusés en désordre, sans aucun plan, sans
10 ine décadence morale, et surtout qu’il n’a plus d’ idéal à opposer aux valeurs neuves et conquérantes du communisme. À cela,
11 capables d’entraîner le monde et de lui rendre un idéal , sont celles que représente le communisme russe. Je demande à voir — 
12 ture et faisant le monde en se faisant. Le nouvel idéal que réclame la jeunesse, il est là, dans l’Europe fédérée, modèle mon