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lement évidentes que la plupart des historiens me
paraissent
les avoir négligées jusqu’ici — ce phénomène européen sans précédent
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citer sa description de l’Europe, dont Valéry me
paraît
bien s’être inspiré dans le passage fameux où il parle de l’Europe co
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t plus centrale que jamais, si bizarre que puisse
paraître
l’expression. On nous a beaucoup mis en garde, depuis les débuts de c
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esque confidentiels, mais dont les conclusions me
paraissent
très frappantes. (Ils reprenaient d’ailleurs, en les modernisant, les
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ion et de contestation, dont la passion maîtresse
paraît
bien être la remise en question permanente des données naturelles et
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gubre unisson et la cacophonie intolérable, alors
paraissent
les créations les plus typiques de la culture européenne, non seuleme
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signe, purement extérieur dira-t-on, mais qui me
paraît
révélateur au pays des gratte-ciel, on persiste à construire des égli
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organes vitaux de notre société, pris un à un, me
paraissent
donc en assez bon état. Reste à savoir si le sujet Europe possède enc
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t pas politique, et du cadre de ces leçons. Il me
paraît
en revanche indispensable de remonter aux origines de ces tendances d
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ent. Le plus moderne sans nul doute est celui qui
parut
le premier et qui resta le moins connu : celui d’Émeric Crucé, dont o
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création sous le regard du Créateur…36 En 1868,
paraissait
la grande prédiction de Proudhon : « Le xxe siècle ouvrira l’ère des
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e risquait de mourir, et dont seule la Russie lui
paraissait
rester indemne, attendant son heure… Enfin, Georges Sorel, dans un de
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pirituelle de l’Europe. Le mouvement vers l’union
paraît
irréversible au plan économique, où déjà les ententes industrielles s
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titre complet compte une dizaine de lignes) n’ont
paru
qu’en 1662, quoique leur achèvement remonte à 1638 pour les deux prem
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Projet pour rendre la Paix perpétuelle en Europe
parut
d’abord à Cologne en 1712, puis à Utrecht en 1713, sans nom d’auteur.
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int-Pierre, par J.-J. Rousseau, citoyen de Genève
parut
à Amsterdam en 1761. 33. C’est dans les Principles of international
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n premier appel à créer la « Paneurope ». En 1924
paraissait
son Manifeste paneuropéen. Aristide Briand, convaincu par le jeune Au
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ri Brugmans, Raymond Silva et Alexandre Marc, ont
paru
en un volume, Rapport du premier congrès annuel de l’union européenne
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uvres, atteint l’Europe dans une situation qui me
paraît
définie par trois grands faits dont je voudrais maintenant mettre en
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n d’accès aisé à la vie internationale… L’intérêt
paraît
ici, comme ailleurs, plus efficace que la contrainte. Et partout, da
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Voici cependant un exemple chiffré, et qui ne me
paraît
pas dénué de toute signification : production de savants de premier o
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ont nulle autre culture et nul autre régime ne me
paraît
posséder les moyens de se charger, si elle s’y dérobe. Cette vocation
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conomiques d’une portée désormais mondiale. Il me
paraît
ensuite gagé sur une fonction universelle, qui s’enracine dans le pas