1 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
1 vain, depuis exactement six siècles et demi, des poètes visionnaires et de grands philosophes et quelques fortes têtes politi
2 temps » selon saint Paul22. À l’utopie sublime du poète , exaltant un but inaccessible mais qui ne cessera de hanter les espri
3 basés sur la volonté des peuples, chantés par les poètes aux larges vues, mais exploités par les politiciens aux courtes ruses
4 ’un long tonnerre d’acclamations, Victor Hugo, ce poète qu’il faut saluer comme le plus grand lyrique de l’idéal d’union euro
5 Quelle extravagance ! M. Quentin-Bauchard. — Ces poètes  !35 Hugo, nullement impressionné par ces nigauds, avait prévu leurs