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e Christenheit oder Europa, c’est faire tort à la
prétention
universelle du christianisme, et ce n’est pas définir l’Europe, puisq
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désignée par le terme de nationalisme, qui est la
prétention
des États à la souveraineté absolue, dans laquelle ils enferment leur
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ope, et la sourde angoisse de l’époque devant les
prétentions
absolutistes des États. Tous les quatre émanent d’esprits profondémen
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sommation stupéfiante, la passion du bizarre, des
prétentions
à l’exclusivité dans le domaine religieux, un fanatisme idéologique,