1 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
1 us chères habitudes d’intellectuels frondeurs. La prospérité d’une presse libre et le prestige des cafés littéraires dans nos gran
2 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
2 souverains, du xvie au xviiie siècle. Enfin, la prospérité générale qu’il faut organiser à l’échelle du continent, non des États
3 t-à-dire la paix, la communauté spirituelle ou la prospérité . C’est surtout un moyen de propagande auprès des princes, plus tard d
4 thèmes principaux (paix, communauté spirituelle, prospérité , défense) sont, je le répète, tous présents à l’esprit de tous les pr
5 on, jugulant l’anarchie des États souverains ; la prospérité par une économie à la fois libérée et organisée ; et la communauté sp
3 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
6 der non seulement avec notre union, mais avec une prospérité sans précédent de l’ensemble du continent. Jamais notre cap de l’Asie
7 s possessions d’outre-mer. Décolonisation, union, prospérité — simultanées. Ce premier fait, définissant les rapports de l’Europe
8 r, coïncide avec notre union, laquelle promet une prospérité sans précédent ; le monde entier se met à l’école de notre civilisati
9 dre en renvoyant aux faits, une fois de plus : la prospérité économique de l’Occident et sa vitalité intellectuelle, que rien ne d
4 1962, Les Chances de l’Europe. Appendice : Sartre contre l’Europe
10 n’a que deux ans — a résulté presque aussitôt une prospérité stupéfiante. L’Europe n’est pas « finie », n’en déplaise à nos furieu