1 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
1 ne entité, en la contrastant avec l’Asie, dans le Traité des airs, des eaux et des lieux, chapitre V, qui date de la fin du ve
2 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
2 u. Il propose aux princes chrétiens et au pape un Traité d’alliance qui est, en vérité, un plan de fédération25 : car il limit
3 s, mais ils survivent dans la mémoire humaine aux traités « fédéralistes » de l’époque, rapidement effacés par l’histoire. Ils
4 ntanées anticipent sur les buts fort prudents des traités . Il semble bien que cet élan doive trouver sous peu son couronnement
5 , Christiania, 1919, tome I, chapitre IV. 25. Le traité de Georges Podiebrad (1420-1471) fut écrit en latin, l’an 1463. Son t
6 omines, où il est annoncé par ce titre français : Traité d’alliance et confédération entre le roy Louis IX, Georges roy de Boh
3 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
7 es Alliés s’étaient battus, et avaient conclu les traités de 1919, et ceci devait amener les colonies à réclamer leur émancipat
4 1962, Les Chances de l’Europe. Appendice : Sartre contre l’Europe
8 ctionne puisque la Grande-Bretagne, après l’avoir traité par le mépris, supplie d’y entrer. Donc c’est Jean Monnet qui a vu ju