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ne entité, en la contrastant avec l’Asie, dans le
Traité
des airs, des eaux et des lieux, chapitre V, qui date de la fin du ve
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u. Il propose aux princes chrétiens et au pape un
Traité
d’alliance qui est, en vérité, un plan de fédération25 : car il limit
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s, mais ils survivent dans la mémoire humaine aux
traités
« fédéralistes » de l’époque, rapidement effacés par l’histoire. Ils
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ntanées anticipent sur les buts fort prudents des
traités
. Il semble bien que cet élan doive trouver sous peu son couronnement
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, Christiania, 1919, tome I, chapitre IV. 25. Le
traité
de Georges Podiebrad (1420-1471) fut écrit en latin, l’an 1463. Son t
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omines, où il est annoncé par ce titre français :
Traité
d’alliance et confédération entre le roy Louis IX, Georges roy de Boh
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es Alliés s’étaient battus, et avaient conclu les
traités
de 1919, et ceci devait amener les colonies à réclamer leur émancipat
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ctionne puisque la Grande-Bretagne, après l’avoir
traité
par le mépris, supplie d’y entrer. Donc c’est Jean Monnet qui a vu ju