1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 1. Une fausse nouvelle : « Dieu est mort »
1 sensible au cœur », disait Pascal. Et de même, l’ énergie fondamentale ne peut être décelée et étudiée que dans le noyau de l’a
2 res d’économie politique ou le sort des masses, l’ énergie nucléaire non seulement n’eût jamais été visible ou sensible, mais en
3 u que dans l’intime, comme la transformation de l’ énergie que dans l’infime, et comme l’amour nulle part ailleurs que dans un c
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 7. Théologie et littérature
4 he une atmosphère dense pour exercer en plein ses énergies . Dante demande à Thomas d’Aquin un cadre, des repères solides, une ré
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
5 e. Il se peut que cette réaction se prononce avec énergie dans les années qui viennent, et elle ne manquera pas d’influencer le
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 11. La baleine qui avait faim
6 ’on nous fait entrevoir que les applications de l’ énergie nucléaire et solaire permettront, vers la fin de ce siècle, de réduir
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
7 nts font tout le contraire : ils domestiquent des énergies décelées par leurs calculs. Ce qui se déchaîne, encore une fois, c’es
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
8 ocherait de cette limite, plus les sources de son énergie s’affaibliraient. Pratiquement, nos deux utopistes prévoient l’interv