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de et leur soif de réponses à leurs questions, de
conseils
, d’idéaux catholiques — au sens étymologique du mot — de solutions «
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era ainsi œcuménique plutôt qu’unitarien. Il sera
fédéral
plutôt que centralisé (dans les domaines culturels, religieux et soci
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eligieux ou national), le tout en vue de l’union (
fédérale
ou œcuménique) de ces vocations dans un ensemble beaucoup plus large
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stin final demeure entre les mains du plus secret
conseil
de Dieu. « Quant à moi, écrit Calvin, j’étends ce nom d’Israël à tout
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evenir aux vertus ancestrales ». Par malheur, ces
conseils
seraient vains. On ne « revient » jamais à rien, surtout dans le doma
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ent nos ancêtres, ce ne serait pas à la suite des
conseils
que quelques sages lui prodigueraient, mais par la force irrésistible
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res amis que forment la personne et la communauté
fédérale
. Vouloir le fédéralisme sans accepter l’œcuménisme, ce serait priver
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e dynamisme révolutionnaire. 3. L’organisation du
Conseil
œcuménique se trouve être de fait la seule Internationale en formatio
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sait donc irréversible. Le mouvement vers l’union
fédérale
, déclenché au lendemain de la guerre par les congrès de Montreux et d
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e constituante est sa prochaine étape. Un Pouvoir
fédéral
devrait en résulter, car tout l’appelle et sa nécessité est inscrite
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remier succès que représenterait pour lui l’union
fédérale
de toutes les confessions chrétiennes. Il faudra que cette union, à s