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es. Et la morale que ces Églises et leurs fidèles
défendent
est celle de la bourgeoisie, ou au mieux celle de Kant. C’est une mor
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sur la défensive. Les hiérarchies ecclésiastiques
défendaient
leurs pouvoirs temporels, justement contestés par l’État. Puis elles
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stement contestés par l’État. Puis elles eurent à
défendre
leurs pouvoirs spirituels, certains États s’étant laissé aller à les
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endiquer injustement. Les docteurs de l’Église se
défendaient
contre les attaques successives du scepticisme né de la science carté
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ditionnelles. Quant aux fidèles, ils avaient à se
défendre
contre la menace quotidienne, innombrable, et sans cesse accrue mais
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herche pour la ramener ! 3° Que l’Église cesse de
défendre
la triste et inefficace moralité bourgeoise, avec laquelle trop de ch
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eux ne dit qu’il fait de l’« Art », sinon pour se
défendre
contre le percepteur ou le policier soupçonneux. D’autre part, le mot
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qui est grave, c’est de voir tant d’intellectuels
défendre
ces manœuvres au nom de la doctrine, et les justifier à tout coup (av
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persécution brutale, que les Églises calvinistes
défendaient
alors, par principe, un régime fédéraliste. Mais si nous remontons pl
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Marx) et la guerre (pour peu qu’elle soit censée
défendre
l’URSS). 41. Je n’entends pas porter ici un jugement quelconque sur
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onalistes attardés. Aucun de nos États ne peut se
défendre
seul. Aucun ne peut faire la guerre sans lever la main pour demander
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succès final du progrès ne mérite guère qu’on la
défende
: car elle se considère comme un remède, et nul remède ne vaut mieux