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ux, de valeurs nouvelles, d’un idéal nouveau ; un
désir
puissant de repartir à neuf et de ne pas retomber dans les erreurs tr
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fait prouve simplement que l’art ne répond pas au
désir
le plus puissant de l’homme moderne ; que ce dernier pourrait donc s’
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ue je cède à quelque obscure détermination de mon
désir
, ou bien est-ce que je réponds vraiment à un appel venu d’ailleurs ?
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une construction quotidienne de la paix. L’un est
désir
, l’autre don et possession. L’un est passion (chose subie), l’autre e
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ité à un rêve il est vrai, fidélité à ses propres
désirs
plutôt qu’à la personne qui était le prétexte, mais conservant au moi
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établit entre les intérêts sociaux présents et le
désir
d’aller au-delà, d’aller jusqu’à l’accomplissement final. Car cet acc
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la projection dans un avenir an-historique de nos
désirs
et de nos craintes : c’est une image de compensation qui n’apprend ri