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néant, mais sur le pardon. Elle est toute mêlée d’
espérance
et de confiance. Et c’est pourquoi je pense qu’elle existe tout autre
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ple sans mesure, sans limites et sans foyer. Sans
espérance
, il crée des utopies. Sans obéissance, il imagine des lois fatales. S
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oqué parmi les « exploités » un tel soulèvement d’
espérances
, de telles vagues d’adhésions enthousiastes, si aveuglement enthousia
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ur, et son amertume salutaire. C’est que la seule
espérance
véritable et certaine n’a plus été prêchée au monde avec une force d’
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en converti commence donc par la fin que visait l’
espérance
communiste. Il possède déjà l’essentiel, que Marx voyait au terme de
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montre dès maintenant un peu de la réalité de mes
espérances
. » Mais l’espérance finale du communisme, c’est la libération de l’ho
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un peu de la réalité de mes espérances. » Mais l’
espérance
finale du communisme, c’est la libération de l’homme. Et moi je lui m
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qu’un futur théorique, — si passionnée que soit l’
espérance
du marxiste — et non pas une présence exigeante et totalement animatr
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tique impliquée dès le début dans la volonté et l’
espérance
œcuménique. Le présent essai n’a d’autre ambition que d’esquisser les
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ais où sont-elles ? Qui les prépare ?bs La seule
espérance
et aussi la seule possibilité qui demeure, c’est l’organisation fédér
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stinées à combattre des doutes qu’à fortifier des
espérances
ou à nourrir des volontés. 1. L’histoire du monde christianisé nous m
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sur l’autonomie épiscopale ; enfin, l’essor de l’
espérance
et de la volonté œcuménique dans toutes les confessions. Tout cela s’