1
ar les docteurs de l’Église, ni par les critiques
littéraires
. Et cependant comment en nier l’importance, dans un siècle où la litt
2
les théologiens se mettent à faire de la critique
littéraire
, comme il arrive qu’on en lise sous leur nom dans les revues de pensé
3
on idée serait bien plutôt d’exiger des critiques
littéraires
un minimum de connaissances théologiques, dont ils se montrent cruell
4
une sorte de direction spirituelle des tendances
littéraires
de leur époque ; mais ceci, je le répète en tant que théologiens, non
5
il importe de rappeler ici, c’est que toute œuvre
littéraire
, si profane qu’en soit le sujet, implique une théologie (fût-ce à l’i