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ention, d’aimanter la sensibilité, de fasciner la
méditation
, de la prendre au piège, — et en même temps d’orienter l’être vers qu
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de l’œuvre d’art, je la définis comme un piège à
méditation
, on voit que la connaissance de cette nature est liée à celle de son
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ment l’attention, celle qui porte la plus loin la
méditation
de l’homme sur son destin et sur l’ordre des choses. Et l’on dira dur
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construit exactement et avec astuce ses pièges à
méditation
, à sensibilité, à imagination. Appelons tout cela, c’est-à-dire l’ens
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-dire en fin de compte théologique. Plan d’une
méditation
chrétienne sur l’activité de l’artiste Je sens bien qu’en parlant
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doctrine, ni un canon des arts, mais un thème de
méditation
, qui serait peut-être de nature à soutenir, et à mieux motiver les ju
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e la deuxième Personne de la Trinité, et dans une
méditation
de son mystère. En troisième lieu, l’artiste est qualifié couramment
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nsée. Je me borne à soumettre cette idée : que la
méditation
chrétienne sur l’acte et l’œuvre de l’artiste semble pouvoir s’approf
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ir, s’informer et s’instruire dans le cadre d’une
méditation
sur la doctrine et le mystère de la Trinité ; et que la méditation ch
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doctrine et le mystère de la Trinité ; et que la
méditation
chrétienne trouvera dans le vocabulaire et les arguments dialectiques