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t être un mal si elle prive les hommes du sens du
mystère
, du sens des correspondances naturelles et du sens de la vénération.
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qui distingua l’Église chrétienne des religions à
mystères
et des autres cultes orientaux de cette époque, et qui fit d’elle dès
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illumine aussi profondément qu’il est possible le
mystère
dernier d’Israël. « Je demande maintenant : Dieu a-t-il rejeté son pe
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fet, je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce
mystère
, de peur que vous ne présumiez trop de votre sagesse : c’est qu’une p
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e simplicité trop aisément atteinte aux dépens du
mystère
, et pour laquelle les protestants anglo-saxons montrent un goût immod
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et se précisent à l’esprit qui s’arrête devant le
mystère
de la Première Personne. Ainsi méditer sur le mystère du Père pourrai
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ère de la Première Personne. Ainsi méditer sur le
mystère
du Père pourrait conduire à mieux comprendre à la fois l’acte de l’ar
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onne de la Trinité, et dans une méditation de son
mystère
. En troisième lieu, l’artiste est qualifié couramment d’inspiré. Les
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s le cadre d’une méditation sur la doctrine et le
mystère
de la Trinité ; et que la méditation chrétienne trouvera dans le voca
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appé qu’elle introduise mieux qu’aucune autre aux
mystères
humains de l’acte d’art. J’ajouterai une dernière suggestion. On sait
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rale, sa tendance à un rationalisme évacuant tout
mystère
, et que limite — mais sans le rectifier — un « fondamentalisme » sans