1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
1 t être un mal si elle prive les hommes du sens du mystère , du sens des correspondances naturelles et du sens de la vénération.
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
2 qui distingua l’Église chrétienne des religions à mystères et des autres cultes orientaux de cette époque, et qui fit d’elle dès
3 illumine aussi profondément qu’il est possible le mystère dernier d’Israël. « Je demande maintenant : Dieu a-t-il rejeté son pe
4 fet, je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère , de peur que vous ne présumiez trop de votre sagesse : c’est qu’une p
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 7. Théologie et littérature
5 e simplicité trop aisément atteinte aux dépens du mystère , et pour laquelle les protestants anglo-saxons montrent un goût immod
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
6 et se précisent à l’esprit qui s’arrête devant le mystère de la Première Personne. Ainsi méditer sur le mystère du Père pourrai
7 ère de la Première Personne. Ainsi méditer sur le mystère du Père pourrait conduire à mieux comprendre à la fois l’acte de l’ar
8 onne de la Trinité, et dans une méditation de son mystère . En troisième lieu, l’artiste est qualifié couramment d’inspiré. Les
9 s le cadre d’une méditation sur la doctrine et le mystère de la Trinité ; et que la méditation chrétienne trouvera dans le voca
10 appé qu’elle introduise mieux qu’aucune autre aux mystères humains de l’acte d’art. J’ajouterai une dernière suggestion. On sait
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
11 rale, sa tendance à un rationalisme évacuant tout mystère , et que limite — mais sans le rectifier — un « fondamentalisme » sans